干净 ix TABLE DES SOMMAIRES. fance & des diverfes fociétés qui s'y trouvent; de l'harmonie de toutes ces parties entre elles & de leur fubordination à la Puif- fance publique. III. Partage des matieres qui doivent entrer dans I. Jufte idée du Mariage avant qu'il fût élevé à la dignitẻ de Sacrement. II. La différence & l'inclination des deux fexes étoient néceffaires à la propagation. III. Ce n'est que par la voie du mariage & dans l'unité du mariage qu'elle doit fe faire. IV. Le Droit naturel n'impofe aucune obligation de fe marier, aujourd'hui que le monde eft peuplé. V. On doit fe conformer aux Régle- mens faits dans les focietés civiles, foit fur le mariage, foit au fujet du célibat; & quelles font les Loix que les diverfes nations ont portées à cet égard. VI. Conditions nécefaires pour rendre un Mariage valable. VII. Quelle forte d'obftacle la confanguinité & l'alliance mettent au Mariage. VIII. La Puiffance temporelle peut déterminer le tems & les autres conditions des mariages, & SECTION N II. page 63. De l'autorité des Maris. XXVII. Fondement de l'autorité qui s'exerce dans le mariage, régulier, conforme au Droit pofitif, foumet au mari la perfonne & les biens de la femme, & quels font les différens droits du mari. XXXI. Privileges accordés par Louis XIV. au grand nom- XXXII. La puissance paternelle eft la feconde fociété primi tive. C'est la plus facrée des Magiftratures. Quel en eft le fon- dement. XXXIII. A qui du pere ou de la mere appartient l'au- torité fur les enfans, dans l'état naturel. XXXIV. A qui cette autorité appartient dans le droit civil. XXXV. Quelle eft l'éten- due de la puiffance paternelle, & quelles font fes bornes dans l'état naturel. XXXVI. Quelle eft l'étendue de la puissance paternelle, & quelles font fes bornes dans l'état civil. XXXVII. De Du pouvoir des Maîtres fur leurs Enfans & fur leurs XXXVIII. La relation des Maîtres avec leurs domestiques, l'état dépendant de quelque fait humain, antérieur au Chriftia- nifme. XLII. L'Europe ne donnoit point d'efclaves depuis l'état de convention qui a fuivi le Chriftianifme. XLIII. Un esclave ..XLV. S'il feroit à propos de faire tranfporter des Négres d'Afrique en France. XLVI. Quel eft aujourd'hui le pouvoir des CHAPITRE SE CON D. En quoi confifte la Souveraineté. 1. Définition de la Souveraineté. Il n'eft point d'Etat fans Souverain. II. Que toute diftinction entre le Souverain & l'Etat eft infenfée & pernicieufe. III. La Souveraineté eft le fondement prochain & immédiat de l'obéiffance des Citoyens. Diftinétion de l'obéiffance en active & en paffive. IV. L'obéiffance à la Loi n'eft pas attachée à la juftice de fes difpofitions, mais à l'autorité du Législateur. V. Toute conduite du fujet qui a pour régle l'efprit particulier dans une affaire publique, a fon principe dans une Source empoisonnée. VI. La Souveraineté eft une & indivifible. La partager c'eft la détruire. VII. L'unité de la Souveraineté fe trouve auffi effentiellement dans les Républiques que dans les Mo- narchies. VIII. Toute Souveraineté eft abfolue. IX. Enumération des Droits de la Souveraineté. X. La Majefté n'eft autre chofe que le fouverain pouvoir & elle fe trouve dans les Républiques De la Souveraineté parfaite, c'est-à-dire abfolue XI. Il n'eft de Souveraineté parfaite que celle où le Souverain Des Souverainetés imparfaites. XVII. Diverfes maniéres dont une Souveraineté peut être imparfaite. XVIII. La Souveraineté des Rois d'Angleterre, de Pologne, & de Suede, eft imparfaite. XIX. Les Princes d'Alle- magne ne font que des Princes fujets, & l'Empereur d'Allema- -gne lui-même n'eft pas Souverain. XX. Des Souverains qui font Vaffaux : & à cette occafion de la Suzeraineté, des Alleus & des Bénéfices, des Fiefs, des Sermens de fidélité, des Homma- ges, & des Inveftitures. XXI. Du Prince en protection. XXII. Du Que la Souveraineté eft de droit Divin. XXIV. Opinions diverfes fur l'origine de la Souveraineté. XXV. Dieu a exercé d'une maniere visible l'autorité du Gouver- vernement. XXVI. Dieu a établi immédiatement des Rois. XXVII, L'origine du Droit fuprême de légiflation, a toujours été réputée divine par tous les peuples; & les fauffes Religions qui n'ont point cette origine divine, ont feint de l'avoir. XXVIII. Dieu |