 | Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1823 - 558 pages
...sœur se courrouça fort à elle , et luy deffendit de me rien dire. Ma sœur luy dit qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela, et que sans doute, s'ils decouvroient quelque chose, ils se vengeroient de moy. La Reyne ma mere répond que, s'il plaisoit... | |
 | France - 1823 - 548 pages
...sœur se courrouça fort à elle , et luy deffendit de me rien dire. Ma sœur luy dit qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela, et que sans doute, s'ils decouvroient quelque chose, ils se vengeroient de moy. La Reyne ma mere répond que, s'il plaisoit... | |
 | John Lingard - France - 1826 - 156 pages
...sœur se courrouça fort à elle, et luy defendit de me rien dire. Ma sœur luy dit, qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela, et que sans doute s'ils découvroient quelque chose, ils se vengeraient de moy. La Reine ma mere répond, que, s'il plaisoit... | |
 | John Lingard - Great Britain - 1827 - 704 pages
...soeur se courrouca fort a elle, et luy defendit de me rien dire. Ma soeur luy dit, qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela, et que sans doute s'ils d^couvroint quelque chose, ils se vengeroient de moy. l& Reine ma mere rcpoiid, que, s'il plaisoit... | |
 | Pierre-Louis Roederer - France - 1830 - 520 pages
...ma sœur, se courrouça fort à elle, et luy défendit de me rien dire. Ma sœur lui dit, Qu'il n'ya point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela,...découvraient quelque chose , ils se vengeraient de moy. La reine ma mère répond : gue s'il plaisait à Dieu , je n'aurais point de mal ; mais que quoique... | |
 | France - 1853 - 906 pages
...La reine ma mère s'en aperçut, el appelant ma sœur, se courrouça fort à elle, et lui défendit de me rien dire. Ma sœur lui dit qu'il n'y avait...découvraient quelque chose, ils se vengeraient de moi. La reine mère répond que, s'il plaisait à Dieu, je n'aurais point de mal; mais quoi que ce fût, il... | |
 | comte Pierre Louis Roederer - 1853 - 528 pages
...sœur, se courrouça fort à elle, et luy défendit de me rien dire. Ma sœur lui dit : Qu'il n'ya point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela , et que sans doute s'ils découvroient quelque chose, ils ье vengeraient de mny. La reine ma mère répond que s'il plai~... | |
 | Jules Michelet - France - 1856 - 508 pages
...extrêmement. La reine se courrouça fort et lui défendit de me rien dire. Ma sœur lui dit qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela, et que, sans doute, s'ils découvroient quelque chose, ils se vengeroient sur moi. La reine mère me commanda encore rudement... | |
 | Jules Michelet - France - 1856 - 506 pages
...extrêmement. La reine se courrouça fort et lui défendit de me rien dire. Ma sœur lui dit qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela, et que, sans doute, s'ils découvroient quelque chose, ils se vengeroient sur moi. La reine mère me commanda encore rudement... | |
 | Jean Marie Dargaud - France - 1859 - 452 pages
...sœur, se courrouça fort à elle , et lui deffendit de me rien dire. Ma sœur luy dit qu'il n'y avoit point d'apparence de m'envoyer sacrifier comme cela , et que , sans doute , s'ils découvroient quelque chose , ils se vengeroient de moy. La royne ma mère repond que, s'il plaisoit... | |
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Mon Dieu, ma sœur, n'y allez pas. » Ce qui m'effraya extrêmement. La reine ma mère s'en aperçut, el appelant ma sœur, se courrouça fort à elle, et lui défendit de me rien dire. 
