La proscription de la Saint-Barthélemi: fragment d'histoire dialogué en cinq actes et en prose, précédé d'une ébauche historique des premières guerres des grands dans le seizième siècle, nommées improprement querres de religion, et de réflexions sur la Saint-Barthélemi ; suivi de remarques sur plusierus accusations portées par divers historiens de nos jours contre Catherine de Medicis |
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accuse amis Anquetil armée armes avaient avoit Bourbon Brantôme c'était calvinistes cardinal de Lorraine Catherine de Médicis catholiques chambre Charles Charles IX Charry chefs chose colère Coligni connétable conseil Cornaton Cosseins coup cour crime d'Amboise d'Espagne Dandelot déclare dessein Discours de Henri donner duc d'Albe duc d'Anjou duc d'Aumale duc de Guise enfans ennemis estoit fils Flandre François de Guise François Ier frère gardes gentilshommes guerre haine Henri III heures historiens huguenots intérêts jeune justice l'amiral de Coligni l'exécution logis Louvre madame maison majesté MARÉCHAL DE TAVANNES Marguerite massacre menaces ment meurtre mille hommes miral mort Navarre Nevers parcequ'il parceque Pardaillan parler personnes Pierre Mathieu Pologne pouvoir prince de Condé princes lorrains protestans régente reine reine-mère religion résolution reste Retz reyne Rochefoucault royaume royne ma mère s'était Saint-Barthélemi sauver SCÈNE seulement sieur de Tavannes sortir Tavannes Téligni Thou tion triumvirs troupes tuer vengeance venger voulait
Popular passages
Page 204 - Mon Dieu, ma sœur, n'y allez pas. » Ce qui m'effraya extrêmement. La...
Page 158 - ... de ceux de la religion. Si je suis si malheureuse, avant que voir cela, donnezmoi congé de me retirer au lieu de ma naissance, et...
Page 447 - MAHOMET. Le droit qu'un esprit vaste, et ferme en ses desseins, A sur l'esprit grossier des vulgaires humains ". ZOPIRE.
Page 75 - François, voire des plus braves, entre lesquels il y en avoit qui étoient ses propres compagnons, parents et amis, et que, dans une heure, il faudroit se tuer les uns les autres ; ce qui donnoit quelque horreur du fait, néanmoins sans diminuer le courage.
Page 455 - On l'insulte, on l'outrage encore après sa mort. Son corps, percé de coups, privé de sépulture, Des oiseaux dévorants fut l'indigne pâture; Et l'on porta sa tête aux pieds de Médicis, Conquête digne d'elle, et digne de son fils. Médicis la reçut avec indifférence, Sans paraître jouir du fruit de sa vengeance, Sans remords, sans plaisir, maîtresse de ses sens, Et comme accoutumée à de pareils présents.
Page 342 - Vappelloit ainsi ) , ne t'en vas pas, il est desja tard , nous balivernerons le reste de
Page 415 - Royne ma mère et moy allasmes au portail du Louvre joignant le jeu de paulme , en une chambre qui regarde sur la place de la...
Page 146 - Celui de vos sujets qui vous porte telles paroles, vous lui devez faire trancher la tête. Comment vous offre-t-il ce qui est à vous? C'est signe qu'il les a gagnés et corrompus et qu'il est chef de parti à votre préjudice. Il a rendu ces dix mille vos sujets à lui pour s'en aider à un. besoin contre vous.
Page 412 - ... faire révolte avec eux sous prétexte du bien public , et que luy estant foible d'argent et d'hommes , elle ne voyoit lieu de seureté pour luy en France. Et si il y avoit bien davantage une nouvelle conséquence dont elle le vouloit advertir : c'est que tous les catholiques...
Page 223 - Quand il fut jour, le roi mit la tête à la fenêtre de sa chambre, et voyant aucuns dans le faubourg Saint-Germain qui se remuoient et se sauvoient, il prit une grande arquebuse de chasse qu'il avoit, et en tiroit tout plein de coups à eux, mais en vain, car l'arquebuse ne tiroit si loin; incessamment crioit : Tuez, tuez.