Œuvres, publ. par le baron A.M. Rœderer, Volume 1 |
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ALBINE amis avoit Bodin BOISBOURDON calvinistes cardinal CASSINEL Catherine de Médicis catholiques CAUTELLE chancelier cher chose Coligny COMTE D'ARMAGNAC COMTE DE BASSOMPIERRE COMTE DE BOSSU COMTE DE DAMMARTIN connétable conseil cour d'Épernon DAUPHIN députés dire discours donner DUBOSQUET duc d'Anjou duc d'Orléans DUC DE BAR duc de Guise DUC DE NEVERS DUC DE SULLY DUCHESSE D'ALENÇON DUCHESSE D'ÉTAMPES DUCHESSE D'ORLÉANS ennemis FANFERLUCHE femme fils François François Ier frère garde GRAP guerre Henri Henri III HENRIETTE hommes HOUGOT huguenots j'ai L'ABBESSE DE FONTEVRAULT l'amiral LAHURE LEDUR Lorraine Louis Louis XI Louvre m'en MADAME LE DOUX MADEMOISELLE ZIGUETTE maison Majesté MARCOIGNET MARQUISE massacre MAUGIRON ment monseigneur monsieur MONTENAC Montmorency MUTILART parler père personne Pierre Mathieu prince de Condé princesse protestants QUÉLUS reine mère religion rien royaume RUSE Saint-Barthélemy SCÈNE serait seul sieur sire sort Tavannes Thou tiers état tion veux voilà voulait
Popular passages
Page 287 - Il courait publiquement la bague, vêtu en amazone, portant des « pendants d'oreilles ; faisait joûtes, ballets et tournois, et force mascarades, « où il se trouvait ordinairement habillé en femme, ouvrait son pourpoint « et découvrait sa gorge, y portant un collier de perles et trois collets de « toile, deux à fraise et un renversé, ainsi que lors le portaient les dames de
Page 136 - Celui de vos sujets qui vous porte telles paroles, vous lui devez faire trancher la tête. Comment vous offre-t-il ce qui est à vous? C'est signe qu'il les a gagnés et corrompus et qu'il est chef de parti à votre préjudice. Il a rendu ces dix mille vos sujets à lui pour s'en aider à un. besoin contre vous.
Page 152 - Et sortant furieusement, nous laissa dans son cabinet, où nous advisasmes le reste du jour, le soir et une bonne partie de la nuit, ce qui sembla à propos pour l'exécution d'une telle entreprise.
Page 347 - Je suis résolu de la marier à mon neveu le prince de Condé , et de la tenir près de ma famille. Ce sera la consolation et l'entretien de la vieillesse où je vais désormais entrer. Je donnerai à mon neveu, qui est jeune, et...
Page 185 - ... nouvelle conséquence dont elle le vouloit advertir : c'est que tous les catholiques , ennuyez d'une si longue guerre , et vexez de tant de sortes de calamitez , estoient délibérez et résolus d'y mettre une fin. Et où il ne voudroit user de leur conseil , il estoit aussi...
Page 191 - Mon Dieu, ma sœur, n'y allez pas. » Ce qui m'effraya extrêmement. La reine...
Page 210 - ... impressions qui avoient couru par toute la France et aux nations voisines ; mais qu'il ne vouloit pas, aux dépens de son Roy et de son maistre, se...
Page 158 - ... tué. Mais tost après le gentilhomme retournant nous dit que M. de G-uise luy avoit respondu que le commandement estoit venu trop tard et que l'admirai estoit mort, et qu'on commençoit à exécuter par tout le reste de la ville. Ainsi retournasmes à nostre première délibération; et peu après nous laissasmes suivre le fil et le cours de l'entreprise et de l'exécution.
Page 45 - Celui qui a donné des rois aux hommes a voulu qu'on les respectât comme ses lieutenants, se réservant à lui seul le droit d'examiner leur conduite. Sa volonté est que, quiconque est né sujet, obéisse sans discernement ; et cette loi, si expresse et si universelle , n'est pas faite en faveur des princes seuls...
Page 191 - Ma sœur fondant en larmes me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose ; et moy je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain que je fus en mon cabinet, je me mis à prier Dieu qu'il luy plust me prendre en sa protection, et qu'il me gardast, sans scavoir de quoy ny de qui.