Je voyais bien qu'ils se contestaient et n'entendais pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher. Ma sœur, fondant en larmes, me dit bonsoir, sans m'oser dire autre chose; et moi je m'en allai toute transie et éperdue,... Guerres de religion - Page 449by Jules Michelet - 1856 - 484 pagesFull view - About this book
| Jean François Dreux du Radier - Queens - 1827 - 404 pages
...manda encore rudement que je m' allasse cou« cher. Ma sœur , fondant en larmes , me dit « bon soir , sans m'oser dire autre chose ; et « moi , je m'en allai , toute transie et éperdue , « sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à « craindre. Le roi de Navarre étoit au lit : « Marguerite... | |
| Pierre-Louis Roederer - France - 1830 - 520 pages
...soupçonner quelque chose. u Je voyois bien qu'ils se contestoient et n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher...; et moi , je m'en allai toute transie et éperdue sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain que je fus dans mon cabinet, je me mis... | |
| comte Pierre Louis Roederer - 1830 - 500 pages
...soupçonner quelque chose. » Je voyois bien qu'ils se contestaient et n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher...; et moi , je m'en allai toute transie et éperdue sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain que je fus dans mon cabinet, je me mis... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - France - 1835 - 582 pages
...rudement que je m'en allasse coucher. « Ma sœur, fondant en larmes , me dit bon soir, « sans oser me dire autre chose ; et moi je m'en « allai , toute transie et éperdue , sans me pou« voir imaginer ce que j'avois à craindre. » ( i ) (i) Marguerite de Valois. T. LII,... | |
| Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1835 - 584 pages
...rudement que je m'en allasse coucher. ce Ma sœur, fondant en larmes , me dit bon soir, ce sans oser me dire autre chose ; et moi je m'en « allai , toute transie et éperdue , sans me pou« voir imaginer ce que j'avois à craindre. » (i) Au point du jour, le roi de Navarre... | |
| France - 1853 - 906 pages
...soupçonner quelque chose. • Je voyais bien qu'ils se contestaient et n'entendais pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher....et moi , je m'en allai toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avais à craindre. Soudain que je fus en mon cabinet, je me mis à... | |
| comte Pierre Louis Roederer - 1853 - 528 pages
...quelque chose... « Je voyois bien qu'ils se contestaient , et n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher....bonsoir, sans m'oser dire autre chose ; et moi, je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain queje... | |
| Jean Marie Dargaud - France - 1859 - 452 pages
...n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher. Ma soeur, fondant en larmes, me dit : bonsoir, sans m'oser dire autre chose; et moy, je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre.... | |
| Adélaïde Celliez - France - 1860 - 716 pages
...toient, mais je n'entendois pas leurs paroles. Elle me commanda « encore rudement que je m'allasse coucher. Ma sœur, fondant en « larmes, me dit bonsoir,...autre chose, et moi, je « m'en allai toute transie, sans imaginer ce que j'avois à craindre. » Marguerite 'trouva le roi de Navarre environné de trente... | |
| Armand Eudel du Gord - France - 1869 - 480 pages
...soupçonner quelque chose Je voyais bien qu'ils se contestaient et n'entendais pas leurs paroles. Elle me commanda encore rudement que je m'en allasse coucher....; et moi je m'en allai toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avais à craindre. Soudain que je fus en mon cabinet, je me mis à... | |
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