...fleurs. En arrivant dans l'île, je sentis un air doux qui rendait les corps lâches16 et paresseux,17 mais qui inspirait une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la êampagne, naturellement fertile et agréable, était presque inculte,13 tant les habitants étaient...

...resemblance to the be- Sends up her flowors, for thee the ginning of the poem of Lucrotius, ocean smiles, " les corps lâches et paresseux, mais qui inspirait...ennemis du travail. Je vis de tous côtés des femmes et de jeunes filles vainement parées, qui allaient, en chantant les louanges de Vénus, se dévouer à...

...et faire naître18 les plaisirs comme les fleurs. En arrivant dans l'île, je sentis un air doux qui rendait les corps lâches" et paresseux," mais qui...ennemis du travail. Je vis de tous côtés des femmes et de jeunes filles vainement18 parées88 qui allaient, en chantant les louanges de Vénus, se dévouer81...

...deux premières éditions. « En arrivant dans l'Ile, dit le fils d'Ulysse, je sentis un air doux qui rendait les corps lâches et paresseux, mais qui inspirait...folâtre. Je remarquai que la campagne, naturellement ferlile et agréable, ¿lait presque inculte, tant les habitants étaient ennemis du travail. Je vis...

...IV. — PAGE 16». « En arrivant dans l'Ile, dit le fils d'Ulysse, je sentis un air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux, mais qui inspirait...que la campagne, naturellement fertile et agréable, étoit presque inculte, tant les habitante étoient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des...

...fleurs. En arrivant dans l'île, je sentis un air doux qui rendait les corps lâches4 et paresseux,6 mais qui inspirait une humeur enjouée et folâtre....presque inculte, tant les habitants étaient ennemis 10 du6 travail. Je vis de tous côtés des femmes et de jeunes filles vainement7 parées8 qui allaient,...

...folatre. Je remarquai que la campagne, naturellement fertile et agréable, était presque Inculte,3 tant les habitants étaient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des femmes et de jeunes filles vainement1 parées5 qui allaient, en chantant les louanges de Vénus, se dévouer8...

...le rivage de Cylhèrc. « En arrivant dans l'île, dit-il ingénument, je « sentis un air doux qui rendait les corps lâches « et paresseux, mais qui...inspirait une humeur « enjouée et folâtre... Je vis de tous côtés des « femmes et des jeunes filles, vainement parées, « qui allaient, en chantant...

...arrivant dans l'île, je sentis un air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux, mais qui inspiroit une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne, naturellement fertile et agréable, étoit presque inculte, tant les habitants étoient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des...

...rieurs. En arrivant dans l'île, je sentis un air doux qui rendait les corps lâches' et paresseux,2 mais qui inspirait une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne, naturellement i'ertiUi et agréable, était presque inculte, tant les habitants étaient ennemis 10 du8 travail....