..., je sentis un air doux qui rimdoit les corps lâches et paresseux , mais qui iuspiroit une/liumeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne , naturellement fertile et agréable , étoit presque inculte , tant les habitants étoient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des...

...dans l'île, je sentis un air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux , mais qui inspiroit une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne , naturellement fertile et agréable, étoit presque inculte , tant les habitans étoient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des...

...île, je sentis un air doux qui rendait In arriving in the island, I felt a ^air 'soft 3шAicA rendered les corps lâches et paresseux, mais qui inspirait...enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne, igay ^and ^wanton. I remarked that the country, naturellement fertile et agréable, était presque...

...folûtre. Je remarquai que la campagne, naturellement fertile et agréable, était presque inculte,3 tant les habitants étaient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des femmes et de jeunes filles vamement4 parées5 qui allaient, en chantant les louanges de Venus, se devouer6 à...

...naître les plaisirs comme les fleurs. En arrivant dans l'île . je sentis un air doux qui rendoit ez donc demain de lui raconter tout ce que les dieux...apprenez une autre fois à parler plus sobrement de tou el agréable , étoit presque inculte , tant les habitants étoient ennemis du travail. Je vis de tons...

...d'Ulysse, je sentis un «air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux , mais «qui inspiroit une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai «que la campagne, naturellement fertile et agréable, étoit «presque inculte, tant les habitants étoient ennemis du «travail. Je vis de tous côtés...

...d'Ulysse , je sentis un «air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux, mais « qui inspiroit une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai «que la campagne, naturellement fertile et agréable, étoit «presque inculte, tant les habitants étoient ennemis du «travail. Je vis de tous-côtés...

...fils d'Ulysse, je sentis un air doux qui rendoit « les corps lâches et paresseux, mais qui inspiroil une humeur enjouée et folâtre. « Je remarquai que la campagne , naturellement fertile et agréable , éloit presque « inculte , tant les habitants étoient ennemis du travail. Je vis de tous côtés...

...; 33 convient, prope*ly belongi ; 34 faire naître, give birth. les corps lâches 1 et paresseux, 2 mais qui inspirait une humeur enjouée et folâtre....naturellement fertile et agréable, était presque inculte, 3 tant 1 es habitants étaient ennemis du travail. Je vi* de tous côtés des femmes et de jeunes filles...

...et faire naître les plaisirs comme les fleurs. En arrivant dans l'Ile , je sentis un air doux qui rendait les corps lâches et paresseux, mais qui inspirait...ennemis du travail. Je vis de tous côtés des femmes et déjeunes filles vainement parées, qui allaient, en chantant les louanges de Vénus, se dévouer à...