En arrivant dans l'île, je sentis un air doux qui rendait les corps lâches et paresseux, mais qui inspirait une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne, naturellement fertile et agréable, était presque inculte, tant les habitants... Itinéraire de Paris a Jérusalem - Page 92by François-René vicomte de Chateaubriand - 1848Full view - About this book
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 566 pages
...arrivant dans l'île, je sentis un air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux, mais qui inspiroit une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne, naturellement fertile et agréable, étoit presque inculte, tant les habitans étoient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des femmes... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - Middle East - 1822 - 418 pages
...d'Ulysse, je sentis » un air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux , » mais qui inspiroit une humeur enjouée et folâtre. Je » remarquai que...la campagne, naturellement fertile et » agréable , étoit presque inculte , tant les habitans étoient » ennemis du travail. Je vis de tous côtés... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - French fiction - 1824 - 450 pages
...faire naître les plaisirs comme les fleurs. • En arrivant dans l'île, je sentis un air doux qui rendait les corps lâches et paresseux , mais qui...fertile et agréable , était presque inculte , tant les habitans étaient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des femmes et de jeunes tilles vainement... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1824 - 656 pages
...dans l'île , je sentis un air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux , mais qui inspiroit une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne, naturellement fertile et agréable, étoit presque inculte ; tant les habitans étoient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des... | |
| François de Salignac de la Mothe Fénelon (abp. of Cambrai.) - 1825 - 444 pages
...arrivant dans l'île, je sentis un air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux, mais qui inspiroit une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne, naturellement fertile et agréable, étoit presque inculte, tant les habitans étoient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des femmes... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Telemachus (Greek mythology) - 1825 - 458 pages
...arrivant dans l'île, je sentis un air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux, mais qui inspiroit une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne, naturellement fertile et agréable, étoit presque inculte, tant les habitans étoient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des femmes... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1825 - 396 pages
...dans l'île , je sentis un air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux, mais qui inspiroit une humeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne , naturellement fertile et agréable , étoit presque inculte , tant les habitants étaient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - Telemachus (Greek mythology) - 1825 - 458 pages
...dans l'île, je sentis un air doux qui rendoit les corps lâches et paresseux, mais qui inspiroit uns humeur enjouée et folâtre. Je remarquai que la campagne, naturellement fertile et agréable, étoit presque inculte, tant les habitans étoient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des femmes... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1827 - 420 pages
...folâtre. Je remarquai que la campagne, naturellement fertile et agréable, était presque inculte,3tant les habitants étaient ennemis du travail. Je vis de tous côtés des femmes et de jeunes filles vainement4 parées3 qui allaient, en chantant les louanges de Vénus, se dévouer6... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - French fiction - 1828 - 420 pages
...et faire naître les plaisirs comme les fleurs. En arrivant dans l'île, je sentis un air doux qui rendait les corps lâches et paresseux , mais qui...folâtre. Je remarquai que la campagne, naturellement ferlile et agréable, était presque inculte, tant les habitant étaient ennemis du travail. Je vis... | |
| |