Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Cahiers raciniens - Page 351897Full view - About this book
| P. Barrère - French literature - 1863 - 576 pages
...d'indignation. Je le vis, je rougis, je palis à su vue : Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Voilà... | |
| William Ireland Knapp - French language - 1863 - 468 pages
...superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par... | |
| Theocritus - Epigrams, Greek - 1869 - 280 pages
...Phèdre i. 3 •Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentis tout mon corps et transir et brûler.' 1. 109. KvuJtCvrai, ' whine.' Ср. 6. 30. 1. 114 f°4- «фвао-as .... каХсо-acra . . . ij... | |
| Académie nationale de Reims (France) - Reims (France) - 1876 - 876 pages
...ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue : Mes jeux, ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit, tourments inévitables. En... | |
| Jean Racine - 1877 - 664 pages
...superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables! Par... | |
| Richard Adolf Ploetz - French language - 1878 - 848 pages
...Hippol. 852. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par... | |
| François Marie Arouet de Voltaire - 1878 - 658 pages
...superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Il est... | |
| Charles Millevoye - 1880 - 474 pages
...de Phèdre : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue : Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler: Je sentis tout mon corps et transir et brûler. C'est ainsi que Racine savait imiter, pour être inimitable. Malheur aux traducteurs qui viendront... | |
| Eugène Lévêque - Classical literature - 1880 - 628 pages
...rivale de Sapho : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne 'voyaient plus; je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et Iransir et brûler. j'étais une de ces abeilles qui couvraient cette guirlande. Je ne puis résister... | |
| Yonne (France) - 1883 - 418 pages
...la physiologie : .... je rougis, je pâlis à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je ne vous décris pas, Messieurs, le phénomène désigné sous le nom de chair de poule, il est l'effet... | |
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