Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Cahiers raciniens - Page 351897Full view - About this book
| Jean-François de La Harpe - Bible - 1825 - 552 pages
...superbe ennemi. Je le vis; je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Voilà la peinture la plus vraie de toutes les ardeurs de l'amour : voici ce que la fable permettait... | |
| Pierre-François Tissot - 1825 - 652 pages
...superbe ennemi : Je le vii, je rougis, je pâlis à sa vue ; In trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Tout ce passage est évidemment emprunté de la seconde idylle de Théocrite , intitulée la Pharmaceutrie.... | |
| Voltaire - Philosophy - 1827 - 724 pages
...superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mou ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler; Je sentis tout mou corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit,... | |
| Ida Saint-Elme - France - 1828 - 424 pages
...d'un amour dont la sincérité ne pouvait m'être suspecte, tout mou être sembla se bouleverser : « Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ;...» Je sentis tout mon corps et transir et brûler. » Je ne puis le nier, j'eus un moment d'hésitation; jl se fit en moi un changement absolu, mais très... | |
| Voltaire - Literary style - 1828 - 528 pages
...superbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mou corps et transir et brûler ; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit... | |
| Voltaire - Philosophy - 1829 - 564 pages
...superbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler ; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Il... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1831 - 416 pages
...où s'égare mon ame, Je ne saurois trouver de lacgoc ni de voix. (Boi LE AU, traduction de Sapho.) Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, JE sentis tout mon corps et transir et brûler. (nUcnfE, Phèdre, act. I, se. 3.) XXVIe. Page 1 4. A recourir à des philtres. ni fioi Tctl Jâçvai... | |
| Anacreon - 1835 - 222 pages
...illégitime : Je le vis , je rougis , je palis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus ; je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler ; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables 17. Ou voit par ce vers que nous ne possédons pas l'ode... | |
| Jean Racine - 1842 - 458 pages
...superbe ennemi Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue,* Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps cl Uaiisu cl brûler; Je reconnus Venus et ses feux redoulal/es, D'un sang qu'elle poursuit tourments... | |
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