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" Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre. Quoi ! tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné ! Songe aux fleuves de sang, où ton bras s'est... "
Revue d'histoire littéraire de la France - Page 406
edited by - 1894
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Résumé analytique des travaux

Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen (France) - Science - 1919 - 1398 pages
...complot est découvert. Auguste commence par défendre devant sa propre conscience, ses amis révoltés : Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre....! tu veux qu'on t'épargne et n'as rien épargné ! Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est baigné. . . Remets dans ton esprit, après tant de...
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Notre littérature étudiée dans les textes, Volume 1

Marcel Braunschvig - French literature - 1920 - 950 pages
...parlent tour à lour. l'ALT-lL PUNIR OU PARDONNER CINNA ? AJJOUSTE. ...Rentre en toi-même, Octave1, et cesse de te plaindre. Quoi ! tu veux qu'on t'épargne, et n'as rien épargné I Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est baigné, f 1^88). — G. Laason : Corru-dle (Collection...
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Œuvres complètes illustrées de Anatole France ...

Anatole France - 1925 - 538 pages
...tableau de chronologie galante; voilà comment hier, au Luxembourg, mon jeune et irrévérencieux ami... Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre....Quoi! tu veux qu'on t'épargne et n'as rien épargné. 6 juin. C'était le premier jeudi de juin. Je fermai mes livres et pris congé du saint abbé Droctovée...
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Corneille

Anne Cassou-Noguès - 2005 - 324 pages
...périr. Pour elles rien n'est sûr, qui peut tout, doit tout craindre. Rentre en toi-même, Octave33, et cesse de te plaindre. Quoi, tu veux qu'on t'épargne et n'as rien épargné ! Songe aux fleuves de sang où ton bras s'est baigné, De combien ont rougi les champs de Macédoine,...
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La Revue hebdomadaire, Volume 26

Literature - 1917 - 1450 pages
...déçue par de tels ingiats, il évoque du fond de sa mémoire, avec remoids, les vieux crimes d'Octave : Rentre en toi-même, Octave, et cesse de te plaindre....! tu veux qu'on t'épargne et n'as rien épargné ! Songe aux neuves de sang où ton bras s'est baigné... Et, par la certitude où désormais nous sommes...
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