 | Alcée Fortier - French literature - 1913 - 384 pages
...: je pense, donc je suis; était- "Puis, •• examinant avec attention ce que j'étais, et royant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps...que je pensais à douter de la vérité des autres choses, il suivait très évidemment et très certainement que j'étais; an lieu que, si j'eusse seulement... | |
 | Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 400 pages
...que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et...pouvais feindre que je n'avais aucun corps, et qu'il 20 n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que... | |
 | Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 408 pages
...que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et...pouvais feindre que je n'avais aucun corps, et qu'il 20 n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que... | |
 | Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 408 pages
...que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais fe1ndre que je n'avais aucun/corps, et qu'il 20 n'y avait aucun monde ni aucun lieu j0u je fusse, mais... | |
 | Louis Dimier - 1917 - 334 pages
...que je me connais. Or, me connaître en cette sorte, qu'est-ce autre chose que de connaître l'âme ? Feindre « que je n'avais aucun corps et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse, » cela ne me faisait pas feindre, dit Descartes « que je ne fusse point ». Au contraire, supposé... | |
 | Jacques Chevalier - Descartes, Rene - 1921 - 408 pages
...indivisible, quoique non instantané (1). * * Je suis. Mais que suis-je? Descartes va nous le dire : « Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et...pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point (2) ; et qu'au contraire, de cela même que je pensais à douter de la vérité des autres choses,... | |
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Puis examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point... 
