| Jean-Pierre Cavaillé - Philosophy - 1991 - 366 pages
...l'ébranler...» (ibid.). En projetant partout le non-être, le je rencontre sa propre évidence ontologique: «je pouvais feindre que je n'avais aucun corps, et...ni aucun lieu où je fusse; mais que je ne pouvais feindre, pour cela, que je n'étais point...» (ibid.). Cette feinte est l'assomption proprement métaphysique... | |
| Geneviève Rodis-Lewis - Philosophy - 1997 - 226 pages
..."Dormons-nous?, rêvons-nous? suit celle de l'illusion provoquée: "quel démon nous enchante?". 49. VI, p. 32: "je pouvais feindre que je n'avais aucun corps, et qu'il n'y avait aucun monde". Alquié écrit pourtant: "l'existence du monde extérieur n'y est pas mise en question, et n'aura donc... | |
| Robert David - Religion - 1998 - 244 pages
...détermination des lois de la géométrie et de la mécanique, puisqu'elle se situe dans une forme de non lieu: Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et...que je pensais à douter de la vérité des autres choses, il suivait très évidemment et très certainement que j'étais; [...]: je connus de là que... | |
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