...dans la volonté ; car si je connaissais toujours clairement ce qui est vrai et ce qui est bon, je ne serais jamais en peine de délibérer quel jugement...entièrement libre, sans jamais être indifférent. Par exemple, examinant ces jours passés si quelque chose existait dans le monde, et connaissant que,...

...167). Cf. Descartes : « si je connaissais toujours clairement ce qui est vrai et ce qui est bon, je ne serais jamais en peine de délibérer quel jugement...entièrement libre, sans jamais être indifférent » (Méditation quatrième). Cf. également Leibniz : «C'est une heureuse nécessité qui oblige le...

...force d'user de notre force, ce pouvoir d'utiliser nos 1 . Ibid., respectivement p. 461 et 462 : « de tout ceci je reconnais que ni la puissance de vouloir,...d'elle-même la cause de mes erreurs, car elle est très ample et très parfaite en son espèce ; ni aussi la puissance d'entendre ou de concevoir : car...

...dans la volonté: car si je connaissais toujours clairement ce qui est vrai et ce qui est bon, je ne serais jamais en peine de délibérer quel jugement...faire ; et ainsi je serais entièrement libre sans être jamais indifférent." Cf. aussi à Mesland, 9 février 1645, AT, IV, 173: "indifferentiam mihi...

...dans la volonté; car si je connaissais toujours clairement ce qui est vrai et ce qui est bon, je ne serais jamais en peine de délibérer quel jugement...ainsi je serais entièrement libre, sans jamais être indifférent2. Cette liberté qui ne passe jamais par l'hésitation de l'indifférence ni par le détour...

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...dans la volonté, car si je connaissais toujours clairement ce qui est vrai et ce qui est bon, je ne serais jamais en peine de délibérer quel jugement...entièrement libre, sans jamais être indifférent. Le mot indifférence peut donner lieu ici à un contresens. C'est la raison qui est en cause non les...

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...Méditation (1641): «Si je connaissais toujours clairement ce qui est vrai et ce qui est bon, je ne serais jamais en peine de délibérer quel jugement...entièrement libre sans jamais être indifférent.» Oui, mais où est la liberté dans ce «si je connaissais», dans ce déterminisme venu de la grâce...?...

...dans la volonté ; car si je connaissais toujours clairement ce qui est vrai et ce qui est bon, je ne serais jamais en peine de délibérer quel jugement...entièrement libre, sans jamais être indifférent. DESCARTES, Méditation quatrième, 1641. Lecture Nous sommes dotés d'un entendement fini et d'une...