| René Descartes - 1886 - 140 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose ; et, remarquant que cette vérité : je pense, donc ré suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions dea sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule... | |
| Napoléon Maurice Bernardin - French literature - 1891 - 424 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : Je pense, donc jesuis, était si ferme et si assurée que toutes les plus...suppositions des sceptiques n'étaient pas capables del'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie... | |
| Paul Albert - French literature - 1892 - 484 pages
...que moi qui le pensais fusse quelque chose; et remarquant que cette vérité, je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule, pour le... | |
| Catholic theological seminaries - 1897 - 868 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose, et remarquant que cette vérité :jepeîise, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler... » Descartes agit volontairement, lui qui se défend d'être sceptique, comme un sceptique. Il se dit... | |
| Charles Renouvier - Civilization - 1897 - 686 pages
...qui le pensois fusse quelque chose : et remarquant que cette vérité, je pense donc je suis, estoit si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'estoient pas capables de l'esbranler, je jugay que je pouvois la recevoir sans scrupule pour le premier... | |
| Gaston Milhaud - Belief and doubt - 1898 - 248 pages
...doute méthodique, devant cette affirmation : « Je pense, donc je suis, «jugeant cette vérité « si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques ne seraient pas capables de l'ébranler. » Mais il ya deux choses dans cette proposition : le fait... | |
| Frederick Morris Warren - French language - 1899 - 360 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité, je pense, donc je suis,4 était si ferme et si assurée, que toutes les plus...capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la rece30 voir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. que je pouvais... | |
| Philosophy - 1899 - 468 pages
...il est très exact de dire, ce qu'affirmé Descartes, que le je pense, donc je suis est une vérité si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques ne la peuvent ébranler. Si l'esprit humain n'a d'autre certitude que celle de son doute, encore faut-il... | |
| Frederick Morris Warren - French language - 1899 - 358 pages
...suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la rece30 voir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. i Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun... | |
| Sebastian Reinstadler - Philosophy, Medieval - 1901 - 476 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense , donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus...suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de Г ébranler , je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie... | |
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