| Henri Léonard Bordier, Édouard Charton - France - 1862 - 624 pages
...le pensois fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : Je pense, donc je suis, étoit si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques ii'eloient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvois la recevoir sans scrupule pour le... | |
| René Descartes - Philosophy, Modern - 1863 - 108 pages
...que moi qui le pensais fusse quelque chose; et remarquant que celte vérité, je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus...pour le premier principe de la philosophie que je cherchais4. Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je... | |
| René Descartes - 1864 - 482 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité, Je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus...pour le premier principe de la philosophie que je cherchais1. 1 Voyez la seconde Méditation. Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et voyant... | |
| Louis François Jéhan - Philosophy - 1864 - 668 pages
...je fusse quelque chose; et remarquant que cette vérité: je pense, donc je suis, était si ferme <U si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables du l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie... | |
| René Descartes - Philosophy - 1865 - 466 pages
...le pensois fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, étoit si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'ctoient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvois la recevoir sans scrupule pour le premier... | |
| J. Millet - Philosophy, Modern - 1867 - 540 pages
...parlic IV, OEuvr., I, 157, sq. Cf. les 2 prem. médit. » n'étaient pas capables de l 'ébranler, je jugeai » que je pouvais la recevoir sans scrupule...pour le » premier principe de la Philosophie que je cher» chais (1). » Essayons de nous faire une idée exacte de l'origine et de la valeur de ce princioe.... | |
| J. Millet - 1867 - 548 pages
...qui le pensais, fusse quelque chose; et, » remarquant que cette vérité, je pense, donc je » suis, était si ferme et si assurée, que toutes les » plus extravagantes suppositions des sceptiques (1) V. OEuvr., XI, pp. 212 et 274. » n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai » que je pouvais... | |
| J. Millet - 1867 - 546 pages
...le pensais , fusse quelque chose ; et , » remarquant que cette vérité, Je pense, donc je » suis, était si ferme et si assurée, que toutes les » plus extravagantes suppositions des sceptiques (1) V. OEuvr., XI, pp. 212 ct 274. » n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai » que je pouvais... | |
| Charles Waddington - Conscience - 1870 - 430 pages
...chose ; et remarquant que cette vérité je pense, donc je suis était si ferme et si assurée, que les plus extravagantes suppositions des sceptiques...capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais ia recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. » Le je pense,... | |
| Christianity and literature - 1874 - 834 pages
...que naoi qui Ie pensais fusse quelque chose; et remarquant quecette vérité: je pense, donc je suis était si ferme et si assurée que toutes les plus...extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capabies de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour Ie premier principe... | |
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