| Othon Goepp Guerlac - French language - 1905 - 234 pages
...en un instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...sans qu'on m'eût regardé, et qu'on m'eût mis en occa- 10 sion 8 d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais... | |
| Émile Paul Toutey - 1907 - 424 pages
...un instant l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout à coup dans un néant * affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnia que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Léo Claretie - French literature - 1907 - 678 pages
...en un instant l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on< m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais, si queIqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais» Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Régis Michuad - French language - 1910 - 456 pages
...un instant 10 l'attention et l'estime publique : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche. Mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - French literature - 1912 - 200 pages
...en un instant l'attention et l'estime publique, car 5 j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1912 - 462 pages
...en un instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche '. Mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais autour de... | |
| Émile Faguet - Authors, French - 1912 - 860 pages
...perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu, Henri Auguste Barckhausen - 1913 - 372 pages
...instant l'attention et l'estime publique : car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé, et qu'on m'eût mis en occasion 35 d'ouvrir la bouche. Mais, si quelqu'un, parhazard, apprenoit à la compagnie que j'étois Persan,... | |
| Maurice Grammont - French language - 1914 - 248 pages
...n instant l'attention et l'estime publiques; car j'entrai tout a coup dan(s) z un néan(t) affreux. Je demeurais quelquefoi(s) un(e) heure dan(s) ; une...compagnie sans qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût nuVs) en n occasion d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un, parbasar(d), apprenni(t) à la compagnie... | |
| Henri Adolphe Pauthier - Literature - 1919 - 472 pages
...en un instant l'attention et l'estime publiques; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais persan, j'entendais aussitôt... | |
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