| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Rome - 1843 - 574 pages
...perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais, si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurai quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Ed Mennechet - European literature - 1846 - 488 pages
...en un instant l'attention et l'estime publiques : car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie,...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Rome - 1846 - 602 pages
...perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais, si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan , j'entendais aussitôt... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1850 - 480 pages
...en un instant l'attention et l'estime publique ; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - Civilization, Classical - 1851 - 580 pages
...perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais , si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan , j'entendais aussitôt... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1854 - 804 pages
...perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout h coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche ; mais , si quelqu'un par hasard apprenait a la compagnie que j'étais Persan , j'entendais aussitôt... | |
| Antonin Roche - French prose literature - 1854 - 704 pages
...perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - French literature - 1856 - 488 pages
...publique; • 1. Voyez la notice sur Montesquieu, p. 32. car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une co.mpagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche; mais si quelqu'un, par hasard, apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt... | |
| Joseph Salvador - Religion - 1860 - 532 pages
...je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie, sans qu'on m'eût regardé ; mais si quelqu'un apprenait par hasard que j'étais Persan, j'entendais autour de moi un bourdonnement.... | |
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