| M. V. Philipon de la Madelaine - Mythology - 1842 - 826 pages
...belle-mère uti allreux amour , que Phèdre elle-même décrit en ces termes à Œnone , sa suivante : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient pas, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Jean Racine - 1844 - 682 pages
...d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos, mon bonheur semblait être atïeimi; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis...je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Jean Racine - 1844 - 592 pages
...approcher de tes bords dangereux? PHÈDRE. Mon mal vient de plus loin. A peine au fils d'Égée Sous les lois de l'hymen je m'étois engagée, Mon repos, mon bonheur sembloit être aflermi; PHÈDRE. — Mais, si^Je parle, l'honneur s'évanouit et se change en opprobre. LA NOURRICE.... | |
| Epic poetry, French - 1845 - 820 pages
...peine au fils d'Kgée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi...je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Vénus et ses feux redoutables,... | |
| Ed Mennechet - European literature - 1846 - 470 pages
...peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos , mon bonheur semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi...je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Jean Racine - French drama - 1846 - 684 pages
...peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi; Athènes me montra mon superbe ennemi...je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Languages, Modern - 1863 - 500 pages
...So hier in der Rede der Phädra, wo sie der Oenone die Entstehung ihrer Liebe zum Hippolyt erklärt. Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis a sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais pleurer;... | |
| Jean Racine - 1847 - 744 pages
...peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos , mon bonheur semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi...je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Jean Racine - 1847 - 674 pages
...d'Égée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affeimi; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis...je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Louis Allard - French poetry - 1847 - 414 pages
...tremble, je me meurs. Voici, comment Racine, avant eux, avait imité la première strophe de cette ode : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir... | |
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