| Jean Racine - 1805 - 348 pages
...peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos , mon bonheur semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis . je rougis . je pâlis a sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler... | |
| Virgil - Country life - 1806 - 364 pages
...violent , comme on le voit dans ces paroles de Phèdre , qui sont la paraphrase du vers de Virgile : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue : Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus; je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| C. J. Cunninghame - 1808 - 292 pages
...peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos, mon bonheur semblait être affermi ;) Athènes me montra mon superbe ennemi...' Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue ; Un troubla s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler; Je sentis... | |
| Jean Racine - Theater - 1810 - 418 pages
...approcher de tes bords dangereux ! PHÈDRE. Mon mal vient de plus loin. A peine au fils d'âgée Sous les lois de l'hymen je m'étois engagée , Mon repos...ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; TTn trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler; Je... | |
| Louis Dubroca - Oratory - 1810 - 296 pages
...au fils d'Egée , Sous les loi» de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos , mon bonljeur semblait être affermi. Athènes me montra mon superbe ennemi....je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Théodore Vernier comte de Montorient - 1810 - 392 pages
...parler, r '. ' ". . .1 r ; ••.'.'.. ' ii ' . , \ i Et quiconque se plaint cherche ise soulager, Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler . -' leur, comme de la joie, sont aujourd'hui bieu connus. Le cœur... | |
| Jean-François de La Harpe - Classical literature - 1813 - 392 pages
...les lois de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos, mon bonheur, semblait être affermi: Athenes me montra mon superbe ennemi. Je le vis , je rougis...trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. .- '... Voilà... | |
| Jean Racine - French drama - 1813 - 300 pages
...les lois de l'bymen je m'étais engagée , Mon repns , mon bonbeur semblait être affermi; Atbènes me montra mon superbe ennemi ; Je le vis , je rougis , je pâlis a sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler... | |
| Jean François de La Harpe - European literature - 1817 - 656 pages
...engagée , Mon repos, mon bonheur, semblait être affermi; Alheñes me montra mon superbe ennemi. le le vis ; je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; le sentis tout mon corps et transir... | |
| Virgil - 1819 - 310 pages
...violent, comme on le voit dans ces paroles de Phèdre, qui sont la paraphrase du vers de Virgile : Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue : Un trouble s'eleva dans mon âme éperdue ; Mes jeux ne voyaient plus,- je ne pouvais parler, le sentis tout mon... | |
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