| Louis Müller - French language - 1840 - 296 pages
...rendent mourant, an prix de la douleur de n'avoir aucune nouvelle de Madame Warens. (JJ Кошмаи.~) Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons...que des atomes au prix de la réalité des choses. (Pesca/.) Que l'homme considère cette éclatante lumière mise comme une lampe éternelle pour éclairer... | |
| François Noel - French literature - 1840 - 652 pages
...sein de la nature : nulle idée iu[p|rrnclie de l'étendue de ses espaces. Nous jiii.isbcau entier nos conceptions, nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des fies«. C'est une sphère infinie , dont le centre "i partout, la circonférence nulle part. Enfin,... | |
| Bescherelle (M., Louis Nicolas) - 1841 - 892 pages
...lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre décrit. (Id.) Nous avons beau entier nos conceptions, nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des choses. (Id.) . . . Bientôt son hôtesse nouvelle, Le prêchant, lui fit voir qu'il était au prix d'elle... | |
| Simon Charles Henri Cros - 1842 - 412 pages
...» de la nature : nulle idée n'approche de l'é» tendue de ses espaces. Nous avons beau en» fier nos conceptions, nous n'enfantons que » des atomes...: » c'est une sphère infinie dont le centre est par» tout, la circonférence nulle part : enfin c'est « un des plus grands caractères sensibles... | |
| G. H. F. de Castres de Tersac - French language - 1843 - 408 pages
...l'étendue de ces espaces. Nous avons, bean1 enfler nos conceptions, nous n'enfantons que des «tomes au prix de la réalité des choses. C'est une sphère...infinie, dont le centre est partout, la circonférence Bulle part. Enfin, c'est un des plus grands caractères sensibles de la toute-puissance de Dieu, que... | |
| Démonstrations - 1843 - 680 pages
...que nous voyons du monde n'est 3u'un trail imperceptible dans l'ample soin e la nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons...beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que des alomes au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie, dont le centre est partout, la... | |
| Voltaire - 1843 - 800 pages
...l'étendue de « ses espaces. Nous avons beau enQer nos concep« lions, nous n'enfantons que des atonies au prix « de la réalité des choses. C'est une sphère infinie, « dont le centre est paiioul , la circonférence nulle « pari. » Cette belle expression est de Tintée de Locres * ; Pascal... | |
| Victor Cousin - 1843 - 534 pages
...n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein delà nature : nulle idée n'approche de V étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que des atomes etc. » Pascal : « Qu'il se regarde comme égaré dans ce canton détourné de la nature, et que de... | |
| Ernest Bersot - Free will and determinism - 1843 - 288 pages
...enchaînement, cette proposition fameuse dans laquelle Pascal exprimait l'immensité de l'espace : le monde est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part. Retenons cette idée, et appliquons-la au problème que nous nous sommes posé plus haut, sans pouvoir... | |
| Amedee Duquesnel - 1844 - 400 pages
...que nous voyons du monde n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ses espaces. Nous avons...centre est partout, la circonférence nulle part. Enfin c'esl un des plus grands caractères sensibles de la toute puissance de Dieu, que notre imagination... | |
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