| Victor Cousin - 1857 - 596 pages
...imperceptible dans l'ample sein.de la nature; nulle idée n'approche de l'étendue de ses en/tuiM; nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité îles choses : c'est une sphère intime dont le centre est partout, la circonférence nulle part. Enfin... | |
| Victor Cousin - 1857 - 596 pages
...n'est qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature : nulle idée n'approche de f étendue de ses espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que des atomes , etc. « Pascal : « Qu'il se regarde comme égaré dans ce canton détourné de la nature, et que,... | |
| Pietro Giordani - 1857 - 462 pages
...imperceptible dans l'ampie sein de la nature. Nulle idèe n'approche de l'étendue de ses espaces. Nousavons beau enfler nos conceptions ; nous n'enfantons que des atomes au prix de la rcalité des choses. C'est une sphèrc infihie , doni le centre est parlout , la circonference nulle... | |
| Edmond Arnould - Comparative literature - 1858 - 514 pages
...qu'un trait imperceptible dans l'ample sein de la nature. Nulle idée n'approche de l'étendue de ces espaces. Nous avons beau enfler nos conceptions, nous...centre est partout, la circonférence nulle part. » Entre nous et l'image que l'auteur nous montre il n'ya pas un seul obstacle, car il n'ya pas un... | |
| Adolf Portmann, Rudolf Ritsema - Religion - 1977 - 496 pages
...athées.18 Toutefois, c'est certainement un cri du cœur que cette exclamation évoquant le monde comme « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part». Car dans l'édition critique de Tourneur (Paris, 1941) on voit que Pascal avait d'abord écrit : «... | |
| Jean-Louis Gardies - Mathematics - 1984 - 152 pages
...la limite. C'est, selon la formule célèbre sur laquelle il convient maintenant de revenir 44, « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part ». Mais le nouveau paradigme ainsi résumé est à sa manière signe cosmologique de l'existence de... | |
| Henri Gouhier - 1986 - 272 pages
...puis barré (15). Pour se connaître, l'homme doit commencer par se situer dans un monde qui est « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part » (16) ; aussi ne disons pas seulement dans l'univers mais dans «une infinité d'univers» (17).... | |
| Giorgio Orelli - Literary Criticism - 1990 - 108 pages
...Nulle idèe n'en approche. Nous avons beau enfler nos conceptions au-delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infime dont le centre est partout, la circonférence nulla part. Enfìn c'est le plus grand caractère... | |
| Georges Canguilhem - Life (Biology) - 1992 - 260 pages
...connaître le tout sans connaître particulièrement les parties. Et lorsqu'il définit l'univers comme « une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part », Pascal tente paradoxalement, par l'emploi d'une image empruntée à la tradition théosophique,... | |
| Laurent Van Eynde - Ontology - 1993 - 156 pages
...ces traits dont il a le secret, définit mieux que quiconque le fit avant lui ce monde moderne : « C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part » (id.). Considérant les étendues infinies d'un univers qu'un peu plus d'un siècle de modernité... | |
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