| Christian Ludwig Ideler - History - 1818 - 636 pages
...confuses , mais délicieuses ; et qui sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de ma retraite je me trquvois... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 432 pages
...confuses, mais délicieuses, et -qui, sans avoir aucun objet bien déterminé, ni constant, ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite , je me trouvois... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 522 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1825 - 374 pages
...déterminé ni constant, ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférap11. |5 LES RÊVEHTES. bles à tout ce que j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvois... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1827 - 424 pages
...confuses, mais délicieuses , et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvois... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 422 pages
...confuses, mais délicieuses , et qui , sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant , ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvois... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 414 pages
...aucun dbjet bien déterminé ni constant , ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préferables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvois... | |
| Ludwig Ideler - French literature - 1831 - 630 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans" ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de ma retraite, je me trouvois... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 482 pages
...confuses, mais délicieuses , et qui , sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant , ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvois... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé , ni constant , ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite , je me trouvois... | |
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