| Léon Jacques Feugère - French literature - 1877 - 516 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de l'heure de la replus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent,... | |
| Auguste Dide - France - 1887 - 374 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir un objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. « Souvent, averti par le... | |
| Louis Ducros - 1888 - 252 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti MTÎl . par... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1849 - 396 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé dt. plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser... | |
| Henri Beaudouin - 1891 - 648 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être, à mon gré, cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent, averti par le baisser... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1911 - 826 pages
..., mais délicieuses , et qui , sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant , ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvois... | |
| Émile Faguet - French literature - 1911 - 336 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet déterminé, ni constant, ne laissaient pas d'être, à mon gré, cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent, averti par le baisser... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1913 - 330 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French language - 1914 - 80 pages
...confuses,38 mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à...j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvois... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1923 - 436 pages
...confuses, mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaisirè de la vie1. Souvent averti par le... | |
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