| Écrivains français - 1848 - 364 pages
...souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble...Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon... | |
| Auguste Mariot de Beauvoisin - 1848 - 270 pages
...souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble...Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horison... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1850 - 480 pages
...souffrir ; Je vous défendrais de l'orage. Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble...avez jusqu'ici Contre * leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon... | |
| André Sears - 1850 - 426 pages
...souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble...Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon... | |
| Jean de La Fontaine - 1851 - 136 pages
...souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble...Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon... | |
| Jean de La Fontaine - Fables - 1851 - 480 pages
...défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides Jiords , des royaumes du vent. ._ La nature envers vous me semble bien injuste. Votre...Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots, Du bout de l'horizon... | |
| François Noel - French language - 1851 - 758 pages
...principe : c'était au Chêne à comprendre ce discours. Tout ce qui suit est sec , et même menaçant : Mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à...Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Le propos n'est pas long , mais il est énergique.... | |
| French literature - 1851 - 508 pages
...souffrir ; Je vous défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. » — Vostre compassion , lui répondit l'arbuste , Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci.... | |
| 1851 - 396 pages
...souffrir; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. » — Vostre compassion , lui répondit l'arbuste , Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci.... | |
| Théodore Lorin - 1852 - 336 pages
...CEuv., p. 271, r». Consultez la note de feu Ch. Nodier sur cette fable de La Fontaine. PLIER , va et n. Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie et ne romps pas Liv. I, fab. 22. M. Napoléon Landais prétend que La Fontaine aurait peutêtre dû dire ployer. Il... | |
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