| France - 1789 - 388 pages
...me dit bon-foir, fans m'ofer dire autre chofe 5 & moy je m'en allay toute tranfie & éperdue, fans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain que je fus en mon cabinet , je me mis à prier Dieu qu'il luy pluil me prendre en fa protection , & qu'il me gardaft... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1821 - 522 pages
...l'embrassa en fondant en larmes : « Et moy, « dit Marguerite dans ses Mémoires, je m'en allay « toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer « ce que j'avois à craindre. » Mariée contre son gré depuis six jours avec un prince pour qui elle n'avoit aucun penchant , ne... | |
| Claude Barnard Petitot - 1821 - 522 pages
...l'embrassa en fondant en larmes : « Et moy, « dit Marguerite dans ses Mémoires, je m'en allay « toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer « ce que j'avois à craindre. » Mariée eontre son gré depuis six jours avec un prince pour qui elle n' avoit aucun penchant ,... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1821 - 520 pages
...l'embrassa en fondant en larmes : « Et moy, « dit Marguerite dans ses Mémoires, je m'en allay « toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer « ce que j'avois à craindre. » Mariée contre son gré depuis six jours avec un prince pour qui elle n'avoit aucun penchant, ne... | |
| Blaise de Lasseran-Massencome Montluc (Seigneur de) - 1821 - 524 pages
...l'embrassa en fondant en larmes : « Et moy, « dit Marguerite dans ses Mémoires, je m'en allay « toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer « ce que j'avois à craindre. » Mariée contre son gré depuis six jours avec un prince pour qui elle n'avoit aucun penchant, ne... | |
| France - 1823 - 548 pages
...coucher. Ma sœur fondant en larmes me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose ; et moy je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain que je fus en mon cabinet, je me mis à prier Dieu qu'il luy plust me prendre en sa protection, et qu'il me gardast,... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1823 - 558 pages
...coucher. Ma sœur fondant en larmes me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose ; et moy je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain que je fus en mon cabinet, je me mis à prier Dieu qu'il luy plust me prendre en sa protection, et qu'il me gardast,... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1823 - 550 pages
...coucher. Ma sœur fondant en larmes me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose; et moy je m'en allay toute transie et éperdue, sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Soudain que je fus en mon cabinet, je me mis à prier Dieu qu'il luy plust me prendre en sa protection, et qu'il me gardast,... | |
| John Lingard - France - 1826 - 156 pages
...coucher. Ma sœur fondant en larmes me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose ; et moy je m'eu allay toute transie et éperdue sans me pouvoir imaginer ce que j'avois à craindre. Mémoires, p. 179. 180. 27 years, but was led to it, that he might be prevailed upon to consent to... | |
| Pierre-Louis Roederer - France - 1830 - 520 pages
...coucher. Ma sœur, fondant en larmes, me dit bon soir, sans m'oser dire autre chose ; et moi je m'en allay toute transie et éperdue , sans me pouvoir imaginer...dans mon cabinet, je me mis à prier Dieu qu'il lui plust me prendre en sa protection , et qu'il me gardast , sans savoir de quoy ny de qui. Sur cela leroy,... | |
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