| Jacques Demogeot - French literature - 1884 - 580 pages
...j'esquive, je me pousse ; Guénaud 2 sur son cheval en passant m'éclabousse : Et n'osant plus paraître en l'état où je suis, Sans songer où je vais, je...Souvent pour m'achever il survient une pluie : On dirait que le ciel, qui se fond tout en eau, Veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau. Pour traverser... | |
| Association pour l'encouragement des études grecques en France - Greek philology - 1884 - 482 pages
...xa-rappâxTai TOÛ cipavcû 7:0X0 xat cuvey.è; (bsûjjux ouvtjf*YïvBoileau ne dira pas mieux : On dirait que le ciel, qui se fond tout en eau, Veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau. Si Louis XIII aimait sa mère d'une si tendre affection, il n'avait pas un moins vif amour pour la... | |
| Alexis Chassang - 1888 - 556 pages
...pour plaire, instruit par la nature. Homère ait à Vénus dérobé sa ceinture. (BOILEAU.) On dirait que le ciel, qui se fond tout en eau, Veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau. Id. a. Vous diriez qu'il ait l'oreille du prince. » (LA BRUYÈRE.) « On dirait que les temples fussent... | |
| Jacques Demogeot - French literature - 1889 - 576 pages
...j'esquive, je me pousse ; Guénaud 2 sur son cheval en passant m'éclabousse : Et n'osant plus paraître en l'état où je suis, Sans songer où je vais, je...Souvent pour m'achever il survient une pluie : On dirait que le ciel, qui se fond tout en eau, Veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau. Pour traverser... | |
| Émile Deschanel - 1891 - 360 pages
...dans la peinture d'une averse diluvienne : Souvent, pour m'achever, il survient une pluie. On dirait que le ciel, qui se fond tout en eau, Veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau. Pour traversei: la rue , au milieu de l'orage , Un ais sur deux pavés forme un étroit passage : 1. Fils... | |
| France - 1892 - 980 pages
...disait déjà Boileau : Guénaud, sur son cheval, en passant m'éclabousse, Et n'osant plus paraître en l'état où je suis, Sans songer où je vais, je me sauve où je puis. Le choléra de 1832, celui de 1849, comparables en leurs meurtriers ravages aux pestes célèbres du... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1894 - 262 pages
...j'esquive, je me pousse ; Guenaud 2 sur son cheval en passant m'éclabousse, Et, n'osant plus paraître en l'état où je suis, Sans songer où je vais, je...Souvent, pour m'achever, il survient une pluie : On dirait que le ciel, qui se fond tout en eau, v Veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau. Pour... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1895 - 336 pages
...me pousse ; Guénaud- sur son cheval en passant m'éclabousse ; Et n'osant plus paraître en l'etat où je suis, Sans songer où je vais, je me sauve où je puis. 70 Tandis que dans un coin en grondant je m'essuie, Souvent, pour m'achever, il survient une pluie... | |
| Béat Louis de Muralt - France - 1897 - 326 pages
...se plaît à mettre le pied dans la boue, et à éclabousser les passants. Et n'osant plus paraître en l'état où je suis. Sans songer où je vais, je me sauve où je puis. Deux vers simples, qui viennent bien à la suite des précédents, et qui sont bons par là. Tandis... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1898 - 368 pages
...j'esquive, je me pousse: Guénaud sur son cheval1 en passant m'éclabousse; Et, n'osant plus paraître en l'état où je suis, Sans songer où je vais, je...Souvent, pour m'achever, il survient une pluie. On dirait que le ciel, qui se fond tout en eau, Veuille inonder ces lieux d'un déluge nouveau. Pour traverser... | |
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