Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir... Essays on the Nature and Principles of Taste - Page 167by Archibald Alison - 1815 - 447 pagesFull view - About this book
| Alfred Biese - Greek literature - 1888 - 476 pages
...zu studieren, damit ich ohne aux mouvemens internes que la reverie eteignait en moi et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser . . il n'ya rien la de solide a quoi le coeur se puisse attacher, a peine est-il dans nos plus vives... | |
| Alfred Biese - Nature in literature - 1888 - 526 pages
...studieren, damit ich ohne aux mouvemens internes quc la reverie eteignait en moi et suffisaient pour nie faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser . . il n'ya rien la de solide a quoi le coeur se puisse attacher, ä peine est-il dans nos plus vives... | |
| Paul Souriau - Aesthetics - 1893 - 370 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1905 - 444 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
| Paul Souriau - Aesthetics - 1906 - 192 pages
...en le reportant tout entier dans notre vie d'imagination. rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
| Erich Rundstroem - Nature in literature - 1907 - 114 pages
...oreille et mes yeux, suppleaient aux mouvements internes que la reverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps ä antre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilite des choses tlc ce... | |
| Pierre Lasserre - Romanticism - 1907 - 568 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
| France - 1907 - 1234 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. » Tout Rousseau est dans cette page, dont l'harmonie s'accentue encore à la contemplation des paysages... | |
| Pierre Lasserre - Romanticism - 1908 - 582 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
| Virgile Rossel, Henri Ernest Jenny - French literature - 1910 - 396 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
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