Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir... Essays on the Nature and Principles of Taste - Page 167by Archibald Alison - 1815 - 447 pagesFull view - About this book
| Écrivains français - 1848 - 364 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
| François-René de Chateaubriand - 1849 - 524 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi , et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps .à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses du monde... | |
| Jacques Demogeot - French literature - 1852 - 684 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi , et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence , sans prendre la peine de penser*. » La poésie de notre âge est là comme dans son germe. La Fontaine avait aimé la nature, il avait... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 816 pages
...oreille et mes yeux, suppléoientaux mouvemens internes que la rêverie éteignoit en moi, et suffisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit quelque foibïe et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
| Antonin Roche - French prose literature - 1854 - 704 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
| Ernest Bersot - Eighteenth century - 1855 - 372 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
| Jacques Demogeot - 1855 - 724 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi , et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence , sans prendre la peine de penser1..» l. Le» Réveriet, cinquième promenade. La poésie de notre âge est là comme dans son... | |
| Ernest Bersot - Eighteenth century - 1855 - 892 pages
...yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait eu moi, et suffisaient pour nie faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
| Jacques Demogeot - French literature - 1855 - 700 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine dépenser 1 . » La poésie de notre âge est là comme dans son germe. La Fontaine avait aimé la... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1857 - 394 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
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