 | Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...remercie. Vous plairez aux hommes à qui vous dites leurs vérités, mais vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine, dont notre ignorance et notre faiblesse se promettent tant de consolations. On n'a... | |
 | Charles Picot - French language - 1848 - 262 pages
...remercie. Vous plairez aux hommes à qui vous dites leurs vérités, mais vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine, dont notre ignorance et notre faiblesse se promettent tant de consolations. On n'a... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 896 pages
...remercie. Vous plairez aux hommes à qui vous dites leurs vérités, et vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine, dont notre ignorance et notre foiblesse se promettent tant de douceurs. On n'a jamais... | |
 | Eugène Crépet - French letters - 1865 - 626 pages
...remercie. Vous plairez aux hommes, .'i qui vous dites leurs vérités , mais vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine , dont notre ignorance et notre faiblesse se promettent tant de consolations. On... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1865 - 426 pages
...remercie. Vous plairez aux hommes , à qui vous dites leurs vérités, et vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine, dont notre ignorance et notre faiblesse se promettent tant de douceurs. On n'a iamais... | |
 | Edouard de Pompery - 1867 - 508 pages
...remercie. Vous plairez aux hommes auxquels vous dites leurs vérités, mais vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine, dont notre ignorance et notre faiblesse se promettent tant de consolations. On n'a... | |
 | Alphonse Jobez - France - 1867 - 590 pages
...hommes. « J'ai reçu, monsieur, écrivit-il à Rousseau, votre nouveau livre contre le genre humain... On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine... On n'a jamais employé tant d'esprit à vouloir nous rendre bêtes ; il prend... | |
 | Voltaire - 1872 - 700 pages
...remercie. Vous plairez aux hommes, à qui vous dites leurs vérités, mais vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine, dont notre ignorance et notre faiblesse se promettent tant de consolations. On n'a... | |
 | Gustave Desnoiresterres - France - 1873 - 558 pages
...sauvage. Vous plairez aux hommes, à qui vous dites leurs vérités, mais vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine, dont notre ignorance et notre faiblesse se promettent tant de consolations. On n'a... | |
 | Gustave Le Brisoys Desnoiresterres - France - 1875 - 610 pages
...sauvage. Vous plairez aux hommes, à qui vous dites leurs vérités, mais vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des couleurs plus fortes les horreurs de la société humaine, dont notre igDorance et notre faiblesse se promettent tant de consolations. On n'a... | |
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J'ai reçu, monsieur, votre nouveau livre ** contre le genre humain, je vous en remercie. Vous plairez aux hommes, à qui vous dites leurs vérités, mais vous ne les corrigerez pas. On ne peut peindre avec des... 
