| Richard Adolf Ploetz - French language - 1878 - 848 pages
...lumière; La Mort est le seul dieu que j'osais implorer. J'attendais le moment où j'allais expirer-, Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, Encor...alarmes, II fallait bien souvent me priver de mes larmes. ŒNONE. Quel fruit recevront-ils de leurs vaines amours? Us ne se verront plus. PHÈDRE. Ils s'aimeront... | |
| Jean Racine - 1884 - 184 pages
...expirer ; Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, Kucor dans mon malheur de trop près observé*, Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir ; Je...alarmes, II fallait bien souvent me priver de mes larmes. ŒNONE. Quel fruit recevront-ils de leurs vaines amours ? Ils ne se verront plus, PHÈDRE. Malgré... | |
| Pierre Corneille - 1885 - 336 pages
...la lu^ ^La mort est le seul dieu que j'osois implorer. Patrendois le moment où j'allois expirer ; Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, Encor dans mon malheur de trop près observée. Je n'osois dans mes pleurs me noyer à loisir : Je goûtois en tremblant ce funeste plaisir ; Et sous... | |
| Karl Julius Ploetz, Carl Ploetz - French literature - 1894 - 846 pages
...lumière: La mort est le seul dieu que j'osais implorer. J'attendais le moment où j'allais expirer; Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, Encor...plaisir. Et sous un front serein déguisant mes alarmes, 11 fallait bien souvent me priver de mes larmes. ŒNONE. Quel fruit recevront-ils de leurs vaines amours?... | |
| Jean Racine - 1895 - 736 pages
...lumière; La mort est le seul dieu que j'osais implorer. J'attendais le moment où j'allais expirer; Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, Encor...loisir; Je goûtais en tremblant ce funeste plaisir; 11 fallait bien souvent me priver de mes larmes '. Et, sous un front serein déguisant mes alarmes,... | |
| André Le Breton - Authors, French - 1895 - 420 pages
...éprouvée.... Mais par son triste époux ma main trop observée N'osait dans son comptoir s'enfoncer à loisir; Je goûtais en tremblant ce funeste plaisir; Et sous un front galant déguisant mes alarmes, ' II fallait bien souvent lui parler de ses charmes. Je touchais au... | |
| Karl Julius Ploetz - 1903 - 870 pages
...lumière; La mort est le seul dieu que j'osais implorer; J'attendais le moment où j'allais expirer; Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, Encor...plaisir, Et sous un front serein déguisant mes alarmes, H fallait bien souvent me priver de mes larmes. ŒNOKK. Quel fruit recevront-ils de leurs vaines amours?... | |
| Agriculture - 1908 - 716 pages
...à la leçon de Vinet, et spécialement en lisant ces vers merveilleux dans la bouche de Phèdre : Je n'osais dans mes pleurs me noyer à loisir, Je...plaisir, Et sous un front serein déguisant mes alarmes Il fallait bien souvent me priver de mes larmes. Je ne ferai pas à mes lecteurs, si j'ai des lecteurs... | |
| Maurice Wilmotte - Ballads, French - 1909 - 350 pages
...nuits, Mes brigues, mes eomplots, ma trahison fatale, N'aurais-je tout tenté que pour une rivale ? .. Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, Encor dans mon malheur de trop près observée, Je n'osois dans mes pleurs me noyer à plaisir : Je goûtois en tremblant ce funeste plaisir... Et si... | |
| Jean Racine - French language - 1910 - 138 pages
...implorer. J'attendais le moment où j'allais expirer; P Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, 1245 Encor dans mon malheur de trop près observée, Je n'osais dans mes pleurs me noyer à_ loisir: _ à 'ii^ttru , Je goûtais en tremblant ce funeste plaisir; I * i Vt. Et sous un front... | |
| |