Inutile ramas de gothique écriture, Dont quatre ais mal unis formoient la couverture, Entourée à demi d'un vieux parchemin noir, Où pendoit à trois clous un reste de fermoir. Sur l'ais qui le... Oeuvres de M. Boileau Despréaux - Page 265by Nicolas Boileau Despréaux - 1747Full view - About this book
| Brie (France) - 1880 - 1082 pages
...des visions d'Accurse et d'IAciat, Inutile ramas de gothique écriture Dont 4 ais mal unis formaient la couverture Entourée à demi, d'un vieux parchemin noir Où pendoit à 3 clous un reste de fermoir. U Im.;,.. .!,,,.< T, r«n 'j 6. Il ya un exemple réel de ce combat imaginé... | |
| Nicolas Boileau, Nicolas Boileau Despréaux, Charles Louandre - 1886 - 548 pages
...mollisse '. A ces mots il saisit un vieil Infortiat *, Grossi des visions d'Accurse s et d'Alciat *, Inutile ramas de gothique écriture, Dont quatre ais...vieux parchemin noir, Où pendoit à trois clous un reste de fermoir. Sur Tais qui le soutient auprès d'un Avicenne ', Deux des plus forts mortels l'ébranleroient... | |
| Alexander Pope - 1889 - 590 pages
...for parody — " A ces mots il saisit un vieil Infortiat, Grossi des visions d'Accurse et d'Alciat, Inutile ramas de gothique écriture, Dont quatre ais...couverture, Entourée à demi d'un vieux parchemin noir, On pendoit à trois clous un reste de fermoir. Sur Tais qui le soutient auprès d'un Avicenne Deux... | |
| Nicolas Boileau-Despreaux - 1892 - 368 pages
...qui mollisse. » A ces mots, il saisit un vieil Infortiat Grossi des visions d'Accurse et d'Alciat, Inutile ramas de gothique écriture, Dont quatre ais...vieux parchemin noir Où pendoit à trois clous un reste de fermoir. Sur l'ais qui le soutient auprés d'un Avicenne Deux des plus forts mortels l'ébranleroient... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1889 - 604 pages
...mollisse. A ces mots il saisit un vieil « Infortiat, » Grossi des visions d'Accurse et d'Alciat i, Inutile ramas de gothique écriture, Dont quatre ais...vieux parchemin noir, Où pendoit à trois clous un reste de fermoir. Sur l'ais qui le soutient auprès d'un Avicenne *, Deux des plus forts mortels l'ébrauleroient... | |
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