 | Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 482 pages
...m'étendant tout de mon long dans le bateau, les yeux tournés vers le ciel , je me laissois aller et dériver lentement au gré de l'eau , quelquefois...avoir aucun objet bien déterminé ni constant , ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...m'étendant tout de mon long dans le bateau les yeux tournés vers le ciel , je me laissois aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant...avoir aucun objet bien déterminé , ni constant , ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux... | |
 | Meyer von Knonau - Switzerland - 1838 - 588 pages
...(Safhlfane ber ©rafen roo; ment AU gré de l'eau , quelquefois pendant plusieurs heures . plongé dan* mille rêveries confuses , mais délicieuses et qui...déterminé ni constant . ne laissaient pas d'être i mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle... | |
 | Ludwig Ideler - Authors, French - 1838 - 538 pages
...m'élendant tout de mon long dans le bateau les yeux tournés vers le ciel,' je ine laissois aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans mille rêveries cenfuses, mais délicieuses, et qui sans avoir aucun objet Lien déterminé ni constant, ne laissoient... | |
 | Écrivains français - 1848 - 364 pages
...m'étendant tout de mon long dans le bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant...laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables * Plante de la famille des Algues. On prononce Likènc. à tout ce que j'avais trouvé de plus doux... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 816 pages
...m'élendant tout de mon long dans le bateau les yeux tournés vers le ciel, je me laissois aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant...avoir aucun objet bien déterminé, ni constant, ne laissoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux... | |
 | Antonin Roche - French prose literature - 1854 - 704 pages
...m'étendant tout de mon long dans le bateau, les yeux tournés vers le ciel, je mt: laissais aller et dériver lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant...délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien détermine ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que... | |
 | French examination papers - 1863 - 282 pages
...bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré du vent, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...mais délicieuses , et qui , sans avoir aucun objet déterminé, ni constant, ne laissaient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce... | |
 | Antonin Roche - French prose literature - 1867 - 584 pages
...tout de mon long dans le bateau, les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver 3 lentement au gré de l'eau, quelquefois pendant plusieurs...heures, plongé dans mille rêveries confuses, mais déli4. Zelie, partie mince coupée sur l'écorce d'un citron, etc. [Acad.) 2. Dévaler, descendre.... | |
 | Léon Jacques Feugère - French literature - 1877 - 516 pages
...bateau , les yeux tournés vers le ciel, je me laissais aller et dériver lentement au gré du vent, quelquefois pendant plusieurs heures, plongé dans...fois préférables à tout ce que j'avais trouvé de l'heure de la replus doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent, averti par le baisser... | |
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Je ciel , je me laissais aller dériver lentement au gré de l'eau , quelquefois pendant plusieurs heures , plongé dans mille rêveries confuses , mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant , ne laissaient pas d'être... 
