...langage , n'ont-ils pas fait de la correction du slyle la première condition ? Boileau n'at-il pas dit : Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours , quoiqu'il fasse , un méchant écrivain. Quelle doit donc être la première condition pour les artistes?...

...un de nos grands Maîtres- à dit, pour la Poésier ce qui s'applique a tous les Arts en général : Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours, quoiqu'il fasse, un méchant écrivain. \\ avait dit préalablement, et d'une manière non moins positive:...

...vicieux : Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme* Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin...toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse ' s Et ne vous piquez point d'une folle vitesse...

...n'admet point un pompeux barbarisme, ?*! d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, eu un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un mauvais écrivain. TABLE DES MATIÈRES. AVERTISSEMEHT 1 Abrégé sur les Participes 9 De la Rhétorique...

...homme qui avait ouvert la carrière ; et c'est à présent sur-tout qu'on peut dire : Sans la langne, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. Quand des pièces romanesques réussissent de nosjours au théâtre par les situations, si elles fourmillent...

...sacrée. Envain vous me frappez d'un SOD mélorlieux , Si le terme est impropre, ou le tour vicieux..... Sans la langue , en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours, quoiqu'il fass«1 , un méchant écrivain. Quae explicatione non indigent} quippe liber in quo illa...

...avec Boileau : En vain vous me frappez d'un son mélodieux Si le terme est impropre et le tour vicieux Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin...toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain. XXIII • Voici enfin, Messieurs,» le Poème de la Vierge, qui se présente à nous sous l'épigraphe...

...fautes contre la langue sont pardonnables à Corneille. Boileau a dit, et répétons encore après lui : Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin...toujours, quoi qu'il fasse , un méchant écrivain. Cela est vrai pour quiconque est venu après Corneille, mais non pas pour lui, non seulement à cause...

...; mais ne connaissant pas assez les finesses de la langue pour rendre ses productions durables. « Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin...toujours , quoi qu'il fasse , un méchant écrivain. » Et Campion était bien éloigne d'être un auteur divin. Plusieurs autres ont fait jouer et imprimer...

...: Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme , Ni d'un vers ampoulé l'orgueilleux solécisme. Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un mauvais écrivain. Je pense qu'il n'ya aucun bon vers , même avec la construction la plus hardie,...