En suite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que, par conséquent, mon être n'était pas tout parfait, car je voyais clairement que c'était une plus grande perfection de connaître que de douter, je m'avisai de chercher d'où j'avais... La philosophie de saint Thomas d'Aquin - Page 334by Charles Jourdain - 1858Full view - About this book
| 1903 - 676 pages
...philosophique dont voici un exemple. Le philosophe est assuré de son existence: « Ensuite de quoi (1) faisant réflexion sur ce que je doutais, et que,...conséquent, mon être n'était pas tout parfait, car je %royais clairement que c'était une plusgrande perfection de connaître que de douter, je m'avisai... | |
| Denys Cochin - 1913 - 294 pages
...des ruines du monde. Il s'est dit ensuite : « Je doutais, et par conséquent mon être n'était pas parfait. Car je voyais clairement que c'était une...plus grande perfection de connaître que de douter 1 . » Ainsi sa raison convaincue de sa propre faiblesse, a besoin de l'idée de l'Être parfait ;... | |
| Denys Cochin - 1913 - 298 pages
...des ruines du monde. Il s'est dit ensuite : « Je doutais, et par conséquent mon être n'était pas parfait. Car je voyais clairement que c'était une plus grande perfection de connaître que de douter1. » Ainsi sa raison convaincue de sa propre faiblesse, a besoin de l'idée de l'Être parfait;... | |
| Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 400 pages
...difficulté à bien remarquer quelles sont celles que 15 nous concevons distinctement. Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par...perfection de connaître que de douter, je m'avisai de cher- 20 cher d'où j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais, et je... | |
| Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 408 pages
...difficulté à bien remarquer quelles sont celles que 15 nous concevons distinctement. Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon être n'était pas tout parfait, car\je voyais clairement que c'était une plus grande perfection de connaître que de douter, je m'avisai... | |
| Octave Hamelin - Philosophy, French - 1921 - 430 pages
...ou il nous fait voir pour ainsi dire le parfait en contact avec l'imparfait : « En suite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que,...m'avisai de chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais : et je connus évidemment que se devait être de... | |
| René Descartes, Étienne Gilson - Science - 1925 - 530 pages
...difficulté à bien remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement. 25 En suite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que,...douter, je m'avisai de chercher d'où j'avais appris 30 à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais ; et je connus évidemment que ce devait... | |
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