Je consens, ou plutôt j'aspire à ma ruine. Monde, pour moi tu n'as plus rien : Je porte en un cœur tout chrétien Une flamme toute divine; Et je ne regarde Pauline Que comme un obstacle à mon bien. Le theatre de P. Corneille - Page 390by Pierre Corneille - 1709Full view - About this book
| Literature - 1899 - 656 pages
...voluptés qui ne renoncent pas à lui, il n'en craint pas l'assaut. Leur prestige est vain, Monde, pour moi tu n'as plus rien : Je porte en un cœur tout chrétien Une flamme toute divine; Et je ne regarde Pauline Que comme un obstacle à mon bien. Saintes douceurs du... | |
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