A peine as-tu parlé qu'elle-même s'y place. Mais, moi, qu'un vain caprice, une bizarre humeur. Pour mes péchés, je crois, fit devenir rimeur, Dans ce rude métier où mon esprit se tue. En vain, pour la trouver, je travaille et je sue ; Souvent j'ai... Oeuvres - Page 34by Nicolas Boileau Despréaux - 1821Full view - About this book
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1823 - 394 pages
...as-tu parlé , qu'elle-même s'y place. Mais moi , qu'un vain capriee , une Li/.a: re humeur , • •* Dans ce rude métier où mon esprit se tue , En vain,...sue. Souvent j'ai beau rêver du matin jusqu'au soir ; Quand je veux dire blanc , la quinteuse dit noir ; Si je veux d'un galant dépeindre la figure, Ma... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1828 - 438 pages
...sans qu'un long détour t'arrête ou t'embarrasse , A peine as-tu parlé, qu'elle-même s'y place. Mais moi, qu'un vain caprice, une bizarre humeur,...crois , fit devenir rimeur, Dans ce rude métier où nion esprit se tue, En vain, pour la trouver, je travaille et je sue. Souvent j'ai beau rêver du matin... | |
| Nicolas Boileua Despréaux - 1830 - 618 pages
...qu'un long détour t'arrête, ou t'embarrasse, A peine as-tu parlé , qu'elle-même s'y place. 3 10 Mais moi, qu'un vain caprice, une bizarre humeur, Pour mes péchés, je crois, fit devenir rimeur,4 Dans ce rude métier, où mon esprit se tue, En vain , pour la trouver, je travaille et je... | |
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1836 - 488 pages
...Pour mes péchés , je crois , fit deveuir rimeur , Dans ce rude métier on mon esprit se tue , Eu vain , pour la trouver , je travaille et je sue. Souvent j'ai beau rêver du matin jusqu'au soir; Quand je veux dire blanc , la quintense dit ndir ; Si je veux d'un galant dépeindre la figure , Ma... | |
| Louis de Bonald - French essays - 1840 - 480 pages
...Et, sans qu'un long détour t'arrête on t'embarrasse, A peine as-tu parlé, qu'elle-même s'y place. Mais moi, qu'un vain caprice, une bizarre humeur ,...sue. Souvent j'ai beau rêver du matin jusqu'au soir ; Quand je veux dire blanc , la quintense dit noir ; Si je veux d'un galant dépeindre la figure ,... | |
| Nicolas Boileau Despréaux, Jean-Baptiste Rousseau, François de Malherbe - 1840 - 722 pages
...Kt, sans qu'un long détour t'arrête ou t'embarrasse, A peine as-tu parlé, qu'elle-même s'y place. Mais moi , qu'un vain caprice , une bizarre humeur,...rimeur, Dans ce rude métier où mon esprit se tue, Eu vain , pour la trouver, je travaille et je sue. Souvent j'ai beau rêver du matin jusqu'au soir;... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - French literature - 1846 - 614 pages
...sans qu'un long détour t'arrête ou t'embarrasse . •V peine as-tu parlé, qu'elle-même s'y place. Mais moi, qu'un vain caprice, une bizarre humeur,...tue, En vain , pour la trouver , je travaille et je sne. Souvent j'ai beau rêver du matin jusqu'au soir : Quand je veux dire blanc, la quinteuse dit noir;... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1851 - 612 pages
...sans qu'un long détour t'arrête ou t'embarrasse . .Y peine as-tu parlé, qu'elle-même s'y place. Mais moi, qu'un vain caprice, une bizarre humeur,...sue. Souvent j'ai beau rêver du matin jusqu'au soir : Quand je veux dire blanc, la quinteuse dit noir; Si je veux d'un galant dépeindre la figure •... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - French poetry - 1853 - 506 pages
...Et, sans qu'un long détour t'arrête ou t'embarrasse, A peine as-tu parlé, qu'elle-même s'y place. Mais moi, qu'un vain caprice, une bizarre humeur,...sue. Souvent j'ai beau rêver du matin jusqu'au soir : Quand je veux dire «blanc» la quinteuse dit «noir. » Si je veux d'un galant dépeindre la figure,... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1855 - 612 pages
...sans qu'un long détour t'arrête ou t'embarrasse . A. peine as-tu parlé, qu'elle-même s'y place. Mais moi, qu'un vain caprice, une bizarre humeur,...sue. Souvent j'ai beau rêver du matin jusqu'au soir : Quand je veux dire blane, la quinteuse dit noir; Si je veux d'un galant dépeindre la figure ' ,... | |
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