 | Cécile Vincens ("Mme. Charles Vincens, ") - 1891 - 189 pages
...l'île et sur leurs pitons, qui brillaient d'un vert argenté. Les vents retenaient leurs haleines. On entendait dans les bois, au fond des vallées,...tranquillité de l'air. Tous, jusqu'aux insectes, bruissaient sous l'herbe. » Doucement grisés par les langueurs d'une nuit amoureuse, les deux amants... | |
 | Sir John Lubbock - Astronomy - 1892 - 429 pages
...vert argente. Les vents retenaient leurs haleines. On entendait dans les bois, au fond des vallees, au haut des rochers, de petits cris, de doux murmures d'oiseaux, qui se caressaient dans leurs nids, rejouis par la clarte de la nuit et la tranquillite de 1'air. Tons, jusqu'aux insectes, bruissaient... | |
 | Sir John Lubbock - Astronomy - 1892 - 429 pages
...vert argent^. Les vents retenaient leurs haleines. On entendait dans les bois, au fond des vallees, an haut des rochers, de petits cris, de doux murmures d'oiseaux, qui se caressaient dans leurs nids, rejouis par la clarte* de la nuit et la tranquillite de 1'air. Tons, jusqu'aux insectes, bruissaient... | |
 | André Le Breton - French fiction - 1898 - 396 pages
...de l'ilo et sur leurs pitons qui brillaient d'un vert argenté. Les vents retenaient leurs haleines. On entendait dans les bois, au fond des vallées,...de petits cris, de doux murmures d'oiseaux qui se caressuient dans leurs nids, réjouis par la clarté de la nuit et la tranquillité de l'air. Tous,... | |
 | Sir John Lubbock - Astronomy - 1904 - 427 pages
...l'île et sur leurs pitons, qui brillaient d'un vert argent»1. Les vents retenaient leurs haleines. On entendait dans les bois, au fond des vallées,...tranquillité de l'air. Tous, jusqu'aux insectes, bruissaient sous l'herbe. Les étoiles étincelaient au ciel, et se réfléchissaient au sein de la... | |
 | Victor Giraud - 1904 - 323 pages
...l'île, et sur les pitons, qui brillaient d'un vert argenté. Les vents retenaient leurs haleines. On entendait dans les bois, au fond des vallées, au haut des rochers, de petits cris, de dour murmures d'oiseaux qui se caressaient dans leurs nids, réjouis parla clarté de la nuit et la... | |
 | Fritz Müller - Nature in literature - 1905 - 117 pages
...vert argente. Les vents retenaient leurs haleines. On entendait dans les bois, au fond des vallees, au haut des rochers, de petits cris, de doux murmures d'oiseaux qui se carressaient dans leurs nids, rejouis par la darté de la nuit et la trantluillité de l'air. Tous,... | |
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