| Lucien Buys - 1880 - 574 pages
...que moi qui le pensais fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité, je pense, donc je sui*, était si ferme et si assurée que toutes les plus...que « je pouvais la recevoir sans scrupule pour le pre« mier principe de philosophie que je cherchais. » FICHTE, adoptant une formule plus simple que... | |
| François de Salignac de La Mothe Fénelon - God - 1880 - 266 pages
...chose tout ce qui est clairement renfermé dans l'idée de cette chose-là; autrement je ne pourla recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. > (Note dt l'éditeur.) rais conclure que je suis, puisque je pense. Ce raisonnement n'a aucune force,... | |
| Léopold Humbert Follioley - French literature - 1883 - 432 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose; et remarquant que cette vérité : Je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus...premier principe de la philosophie que je cherchais '. La certitude de la vie personnelle, et, comme on dit en philosophie, l'existence de l'être pensant,... | |
| A. Netter - Animal intelligence - 1886 - 112 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus...premier principe de la philosophie que je cherchais. » Je pense, donc je suis1. La première certitude était trouvée : c'est le moi, la conscience. Cet... | |
| René Descartes - 1886 - 140 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose ; et, remarquant que cette vérité : je pense, donc ré suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions dea sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule... | |
| Napoléon Maurice Bernardin - French literature - 1891 - 424 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : Je pense, donc jesuis, était si ferme et si assurée que toutes les plus...suppositions des sceptiques n'étaient pas capables del'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie... | |
| Paul Albert - French literature - 1892 - 484 pages
...que moi qui le pensais fusse quelque chose; et remarquant que cette vérité, je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule, pour le... | |
| Catholic theological seminaries - 1897 - 868 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose, et remarquant que cette vérité :jepeîise, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler... » Descartes agit volontairement, lui qui se défend d'être sceptique, comme un sceptique. Il se dit... | |
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