| René Descartes, Etienne Gilson - Philosophy - 1984 - 148 pages
...moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus...suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de rébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie,... | |
| Pierre Alain Cahné - Philosophy - 1980 - 356 pages
...comme nom cartésien de la vérité. « Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler... » (AT VI, 32.) Nous pouvons commencer d'établir la chaîne dont nous avons détaillé les maillons,... | |
| Georg Wilhelm Friedrich Hegel - Philosophy - 1985 - 584 pages
...moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus...premier principe de la Philosophie, que je cherchais ». (AT VI, Disc. Meth., p. 32 ; De Methodo p. 558). 2«) Il s'agit plus particulièrement du début... | |
| Pierre Faucon de Boylesve - Ontology - 1985 - 448 pages
...Discours de la méthode , Quatrième Partie : "Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus...suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l' ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie,... | |
| Felix Atance, University of Western Ontario - History - 1986 - 152 pages
...quatrième partie du Discours de la méthode: « Et remarquant que cette vérité: ;e pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus...extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capa19. Voir Descartes, Discours de la méthode, 170. 20. Voir Sextus Empiricus, Les Esquisses Pyrrhoniennes,... | |
| Henri Gouhier - 1986 - 272 pages
...non, un mot du Discours, Descartes y présentant « je pense donc je suis » comme une vérité « si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions...Sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler» (67). Mais lorsqu'il s'oppose aux mêmes extravagances, il ne faut pas lire Pascal comme on lit Descartes.... | |
| René Descartes, Etienne Gilson - Science - 1987 - 520 pages
...moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des 20 sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule,... | |
| Harald Weinrich - Authors and readers - 1989 - 310 pages
...moi, qui le pensais, fusse quelque chose. Et remarquant que cette vérité : je pense donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus...principe de la philosophie que je cherchais. Puis, 30 examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun... | |
| Raymond Duval - Philosophy - 1990 - 228 pages
...vérité sans qu'une inquiétude se glisse : > Et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler... >, >Je suis, j'existe : cela est certain ; mais combien de temps ? > DESCARTES, op. cil., I, p. 603, 11, p.... | |
| Jean-Pierre Cavaillé - Philosophy - 1991 - 366 pages
...somniol Et somniando cogito...», Monumentum desultoria, Leiden, 1655, p. 152. pense donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler...» (ibid.). En projetant partout le non-être, le je rencontre sa propre évidence ontologique: «je pouvais... | |
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