Car, sitôt que du soir les ombres pacifiques D'un double cadenas font fermer les boutiques; Que, retiré chez lui, le paisible marchand Va revoir ses billets et compter son argent; Que dans le Marché-Neuf tout est calme et tranquille, Les voleurs à... Oeuvres - Page 77by Nicolas Boileau Despréaux - 1821Full view - About this book
| Paris (France) - 1883 - 192 pages
...ici." ...Sitôt que du soir les ombres pac,fiques D'un double cadenas font fermer les boutiques ; O_ue, retiré chez lui, le paisible marchand Va revoir ses...tranquille, Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville; Le bois le plus funeste et le moins fréquenté Est, au prix de Paris, un lieu de sureté. Malheur... | |
| Gustav Körting, Eduard Koschwitz - French literature - 1883 - 570 pages
...Afin que votre mort, de tragique mémoire. Des massacres fameux aille grossir l'histoire . . . Car, si-tôt que du soir les ombres pacifiques D'un double...cadenas font fermer les boutiques; : Que, retiré chez hû, le paisible marchand Va revoir ses billets et compter son argent; Que dans le Marché-Neuf tout... | |
| G. Korting and E. Koschwitz - 1884 - 548 pages
...Aim que votre mort, de tragique mémoire, Des massacres fameux aille grossir l'histoire . . . Car, si-tôt que du soir les ombres pacifiques D'un double...tranquille, Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville. Darum gewährt eine von Menschen verlassene Stätte, der finsterste Wald bei Nacht mehr Sicherheit... | |
| Jacques Demogeot - French literature - 1884 - 580 pages
...J'y passe en trébuchant ; mais, malgré l'embarras, La frayeur de la nuit précipite mes pas. Car, sitôt que du soir les ombres pacifiques D'un double cadenas font fermer les boutiques ; Que, retiré ch»z lui, le paisible marchand Va revoir ses billets et compter son argent ; 1. Allusion aux barricades... | |
| Nicolas Boileau, Nicolas Boileau Despréaux, Charles Louandre - 1886 - 548 pages
...médecin de Paris et qui dlloit toujours à che* «al. (umi.tir, 1713.) — \ uyr/ ci-dessus, p. 60. Car, sitôt que du soir les ombres pacifiques D'un double...les boutiques; Que, retiré chez lui, le paisible marcband Va revoir ses billets et compter son argent; Que dans le Marché-NeufJ tout est calme et tranquille,... | |
| François Guizot, Madame Guizot (Elisabeth Charlotte Pauline) - Drama - 1887 - 588 pages
...opposées; _ Chacun prétend passer ; l'un mugit, l'autre lure; Et le vers est coupé en trois parties. Mais sitôt que du soir les ombres pacifiques, D'un double cadenas font fermer les boutiques, Kt retiré chez lui le paisible marchand Va revoir ses billets et compter son argent, etc. On remarque... | |
| Jacques Demogeot - French literature - 1889 - 576 pages
...J'y passe en trébuchant; mais, malgré l'embarras, La frayeur de la nuit précipite mes pas. Car, sitôt que du soir les ombres pacifiques D'un double...marchand Va revoir ses billets et compter son argent ; 1. Allusion aux barricades du 20 août 1648, au début de la Fronde. Boileau, né en 1636, les avait... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1892 - 336 pages
...passe en trébuchant; mais, malgré l'embarras, La frayeur de la nuit précipite mes pas. Car si-tost que du soir les ombres pacifiques D'un double cadenas..., Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville. Le bois le plus funeste et le moins frequenté Est, au prix de Paris, un lieu de seureté. Malheur... | |
| Karl Julius Ploetz, Carl Ploetz - French literature - 1894 - 846 pages
...dangers que le paisible bourgeois courait, le soir ou la nuit, dans les rues de l'ancien Paris. Car, sitôt que du soir les ombres pacifiques D'un double...tranquille. Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville. Le bois le plus funeste et le moins fréquenté Est, au prix de Paris, un lieu de sûreté. Malheur... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1894 - 262 pages
...rivières. t'y passe en trébuchant ; mais malgré l'embarras a frayeur de la nuit précipite mes pas. Car, sitôt que du soir les ombres pacifiques D'un double...billets et compter son argent ; Que dans le Marché-Neuf l tout est calme et tranquille, Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville. Le bois le plus funeste... | |
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