| Language and languages - 1926 - 526 pages
...vous l'eussiez prise pour un arsenal. Ce n'était que fusils, pistolets, sabres, couteaux, coutelas. Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais...au contraire : il était de la famille, il riait, causait avec eux ; et une imprudence que j'aurais dû prévoir (mais quoi ! s'il était écrit ), il... | |
| Language and languages - 1928 - 536 pages
...arsenal. Ce n'étaient que fusils, pistolets, sabres, couteaux, coutelas. Tout me déplut, et je vis que je déplaisais aussi. Mon camarade, au contraire...! s'il était écrit !) il dit d'abord d'où nous sommes, où nous allions, qui nous étions ; Français, imaginez un peu ! chez nos plus mortels ennemis,... | |
| Children's literature - 1863 - 436 pages
...coutelas. Tout cela me déplut, j'étais assiégé de soupçons. Mon camarade, au contraire, semblait être de la famille; il riait, il causait avec eux, et,...dit d'abord d'où nous venions, où nous allions, qui nous étions. Et puis, pour ne rien omettre de ce qui pouvait nous perdre, il fit le riche, promit... | |
| Ferdinand Bôcher - French language - 1870 - 338 pages
...vous l'eussiez prise pour un arsenal. Ce n'étaient que fusils, pistolets, sabres, couteaux, coutelas. Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais...camarade, au contraire : il était de la famille, 18 il riait, il causait avec eux ; et, par une imprudence que j'aurais dû prévoir, 14 il dit d'abord... | |
| Ferdinand Bôcher - French language - 1870 - 302 pages
...vous l'eussiez prise pour un arsenal. Ce n'étaient que fusils. pistolets, sahres, couteaux, coutelas. Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais...aussi. Mon camarade, au contraire : il était de la famille,18 il riait, il causait avec eux ; et, par une imprudence que j'aurais dû prévoir,14 il dit... | |
| |