 | Auguste Jean Marie Vermorel - 1865 - 200 pages
...citée* comme un des morceaux les plus éloquents et et les plus parfaits qu'ait produits Mirabeau : Pour vous, monsieur, qui, en calomniant mes intentions...déjà trop avilie, à servir la cupidité de ceux-là mêmes, peut-être, dont les lâches manœuvres vous eussent imprimé la double flétrissure du ridicule... | |
 | Eugène Crépet - French letters - 1865 - 626 pages
...supériorité. Voici par quelle apostro»' phe toute oratoire ad homuiem il terminait sa brochure : a Pour vous, monsieur, qui, en calomniant mes intentions...la guerre ne pouvait être ni utile, ni honorable, croyez-moi, profitez de l'amère leçon que vous m'avci me venger de vous; elle m'est offerte par vous-même... | |
 | Arts - 1868 - 842 pages
...son rival le portrait le plus noir. Il terminait par cette péroraison remplie de feu et de fiel : a Pour vous, Monsieur, qui, en calomniant mes intentions...dans mon esprit ni dans mon cœur..., vous que je plains sincèrement d'avoir pu descendre jusqu'à prostituer votre plume déjà trop avilie..., croyez-moi,... | |
 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - Encyclopedists - 1880 - 590 pages
...voulait le tracer avec la même franchise. Après avoir eu pour son adversaire tous les ménagements pendant le cours de son ouvrage, il le termine par...déjà trop avilie, à servir la cupidité de ceux-là mêmes peut-être dont les lâches manœuvres vous eussent imprimé la double flétrissure du ridicule... | |
 | Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - Encyclopedists - 1880 - 580 pages
...voulait le tracer avec la même franchise. Après avoir eu pour son adversaire tous les ménagements pendant le cours de son ouvrage, il le termine par...vous que je plains sincèrement d'avoir pu descendre jusqu'eà prostituer votre plume, déjà trop avilie, à servir la cupidité de ceux-là mêmes peut-être... | |
 | I.-A. Rayeur - France - 1892 - 292 pages
...Paris, avait fait en leur nom une réponse spirituelle dont la froide ironie avait exaspéré Mirabeau : Pour vous, monsieur, qui, en calomniant mes intentions...sincèrement d'avoir pu descendre jusqu'à prostituer voire plume, déjà trop avilie, à servir la cupidité de ceux-là même peutêtre dont les lâches... | |
 | Arts - 1868 - 844 pages
...forcé de vous traiter avec une dureté que la nature n'a mise ni dans mon esprit ni dans mon cœur..., vous que je plains sincèrement d'avoir pu descendre...jusqu'à prostituer votre plume déjà trop avilie..., croyez-mni, profitez de F am ère leçon que vous m'avez contraint de vous donner. Souvenez-vous qu'il... | |
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Pour vous, monsieur, qui, en calomniant mes intentions et mes motifs, m'avez forcé de vous traiter avec une dureté que la nature n'a mise ni dans mon esprit, ni dans mon cœur; vous que je ne provoquai jamais, avec qui la guerre ne pouvait être ni... 
