| Arthur Lytton Sells - Comparative literature - 1924 - 254 pages
...— Ali, ma chère Lisette, que viens-je d'entendre ? Tes paroles ont un feu qui me pénètre. ...Il n'est ni rang, ni naissance, ni fortune, qui ne disparaisse devant une âme comme la tienne ; j'aurais honte que mon orgueil tînt encore contre toi, et mon cœur et ma main t'appartiennent...... | |
| Clarence Dietz Brenner - French drama - 1927 - 1136 pages
...Lisette, que viens- je d'entendre! Tes paroles ont un feu qui me pénètre; je t'adore, je te respecte. Il n'est ni rang, ni naissance, ni fortune, qui ne disparaisse devant une âme comme la tienne; j'aurais honte que mon orgueil tint encore centre toi, et mon cœur et ma main t'appartiennent. SILVIA.... | |
| Musée Carnavalet - Paris (France) - 1928 - 308 pages
...Dorante. Dorante bravera le préjugé. « Je t'adore, je te respecte, finira-t-il par lui dire : il n'est ni rang, ni naissance, ni fortune, qui ne disparaisse devant une âme comme la tienne. J'aurais honte que mon orgueil tînt encore contre toi, et mon cœur et ma main t'appartiennent. »... | |
| 1927 - 1304 pages
...vitns-je d'entendre? tes paroles ont un feu • qw me pénjètre. Je t'adore, je te respecte. Il a'«l ni rang, ni naissance, ni fortune qui ne disparaisse devant une âme comme la tienne. J aurais honte que mon orgueil tînt encore contre toi, et mon cœur et ma main t'appartiennent. SILVIA.... | |
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