 | Charles-Constant Le Tellier - French poetry - 1824 - 316 pages
...n,e va fondre la téU). ''entends dcjà par-tout les charrettes courir, . ,es maçons travaille^ , les boutiques s'ouvrir : Tandis que dans les airs...émues, D'un funèbre concert font retentir les nues , It , se mêlant au bruit de la grêle et des vents ,; • ?o«r honorer les morts font mourir les... | |
 | Paris (France) - 1825 - 540 pages
...mille cloches emues, D'un funebre concert font retentir les nues; Et, se melant au bruit de la grele et des vents, Pour honorer les morts font mourir les vivants. Encor je benirois la l ionic: souveraine Si le ciel a ces maux avoit born^ ma peine. Mais si seul en mon lit... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1828 - 438 pages
...marteau me va fendre la tête. J'entends déja partout les charrettes courir, 1 Ennuyeux célèbre. (B.) Les maçons travailler, les boutiques s'ouvrir : Tandis...honorer les morts font mourir les vivants. Encor je bénirois la bonté souveraine Si le ciel à ces maux avoit borné ma peine. Mais si seul en mon lit... | |
 | Nicolas Boileua Despréaux - 1830 - 618 pages
...à-coup comme présens les embarras de Paris. Lévtzac. J'entends déjà partout les charrettes courir, i Les maçons travailler, les boutiques s'ouvrir : Tandis...Et, se mêlant au bruit de la grêle et des vents, 3 a5 Pour honorer les morts font mourir les vivans. Encor je bénirais la bonté souveraine, Si le... | |
 | France - 1925 - 990 pages
...Les théâtres glapir, les orchestres ronfler... Resiemblent-ils assez h ceux des Embarras de Paris : J'entends déjà partout les charrettes courir, Les maçons travailler, les boutiques s'ouvrir!... L'identité de la facture entre les Fleurs du mal et les Satires Ou les Épîtres serait rendue évidente... | |
 | Pierre François Merlet - 1833 - 624 pages
...Avec un fer maudit, qu'à grand bruit il apprête, De cent coups de marteau me va fendre la tête. J'entends déjà par-tout les charrettes courir, Les...les vivants. Encor je bénirais la bonté souveraine Si le ciel à ces maux avait borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison, C'est encor... | |
 | Nicolas Boileau-Despréaux - 1836 - 488 pages
...De cent coups de marteau me va fendre la téle. J'entends déja par-tout les charrettes courir, 1 es maçons travailler, les boutiques s'ouvrir : Tandis que dans les airs mille cloches émues , l)'un funebre concert font retentir les nues ; Et, se mêlant an bruit de la grêle et des vents,... | |
 | Louis de Bonald - French essays - 1840 - 480 pages
...cent coups de marteau me va fendre la tête. J'entends déja par-tout les charrettes courir , I es maçons travailler, les boutiques s'ouvrir : Tandis que dans les airs mille cloches émues , D'un funebre concert font retentir les nues ; Et, se mêlant an bruit de la grêle et des venta, Pour honorer... | |
 | Napoléon Landais - French language - 1845 - 650 pages
...Jean.) Un seul jour perdu devrait nous donner des re9rets (MASSILLON.) ENTENDRE (dans le sens d'ouïr) : J'entends déjà partout les charrettes courir , Les maçons travailler , les boutiques s'ouvrir. (BoiLEAU.) (SYNTAXE). 499 Cependant, ainsi que le fait observer Féraud, entendre, en ce sens, n'a... | |
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J'entends déjà par-tout les charrettes courir, Les maçons travailler, les boutiques s'ouvrir : Tandis que dans les airs mille cloches émues, D'un funèbre concert font retentir les nues ; Et, se mêlant au bruit de la grêle et des vents, Pour honorer... 
