| Antonin Roche - French literature - 1875 - 352 pages
...faire usage du feu, et qui sache admirer le soleil ! Quoi ! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports ; je puis sentir ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu ; je puis contempler l'univers, m'élcver à la main qui le gouverne; je puis aimer le bien, le faire, et je me comparerais aux bêtes... | |
| Hippolyte Taine - France - 1876 - 578 pages
...Quoi ! je puis observer, connaître les êtres et leurs « rapports; je puis sentir ce qu'est ordre, beauté, vertu; « je puis contempler l'univers, m'élever...gouverne; je puis aimer le bien, le faire, et je me com« parerais aux bêtes ! » L'homme est libre, capable de choisir entre deux actions, partant créateur... | |
| Paul Albert - French literature - 1879 - 492 pages
...Loin de nous ces sophistes, qui prétendent ravaler au rang des bêtes cet être supérieur! — « Ame abjecte, c'est ta triste philosophie qui te rend semblable à elles. » — Ceci à l'adresse d'Helvétius. — Pour lui, « qui n'a point de système à soutenir », il... | |
| Charles Eugène Berseaux (b.1822) - 1883 - 318 pages
...avec la « bête(l). » Disons avec Rousseau : « Quoi ! je puis observer, « connaître les êtres et leurs rapports ; je puis sentir « ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu ; je puis contem« pler l'univers, m' élever à la main qui le gouverne ; « je puis contempler le bien et le... | |
| Villemain (M.) - French literature - 1884 - 466 pages
...sache faire usage du feu, et qui sache admirer le soleil. Quoi! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports, je puis sentir ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu ; je puis contempler l'unh ers, m'élever à la main qui le gouverne ; je puis aimer le bien, le faire, et je me comparerais... | |
| Moritz Brasch - Duitsland - 1885 - 534 pages
...ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu; je puis contempler l'univers, connaître, honorer son auteur, je puis aimer le bien, le faire; et je me comparerais aux bêtes! Ame abjecte, c'est ta sombre philosophie, qui te rend semblable à elle ..." greilid) Hingt biefeë nid)t fehr pl)itofopl)ifcf),... | |
| Paul Albert - French literature - 1886 - 496 pages
...Loin de nous ces sophistes, qui prétendent ravaler au rang des bêtes cet être supérieur! — « Ame abjecte, c'est ta triste philosophie qui te rend semblable à elles. » — Ceci à l'adresse d'Helvétius. — Pour lui, « qui n'a point de système à soutenir », il... | |
| Victor Amédée Barbié du Bocage - Philosophy - 1888 - 600 pages
...pensées après les avoir énoncées. « Quoi, s'écriet-il, je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports ; je puis sentir ce que c'est qu'ordre,...le bien, le faire, et je me comparerais aux bêtes! » C'est lui qui répète ailleurs en défendant le libre arbitre : « Le principe de toute action... | |
| Adolphe Franck - Europe - 1893 - 416 pages
...prétendre à l'honneur de penser. — t Quoi! dit-il encore, je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports; je puis sentir ce que c'est qu'ordre,...me comparerais aux bêtes ! Ame abjecte, c'est ta philosophie qui te rend semblable à elles, ou plutôt tu veux en vain t'avilir, ton génie dépose... | |
| 1893 - 504 pages
...dépit de l'axiome cartésien et de la doctrine cbrétienne, avait Ofé comparer l'homme aux animaux. « Je me comparerais aux bêtes ?... Ame abjecte, -•...triste philosophie qui te rend semblable à elles. » \Knille.) (2) Turgot, dans une lettre à Condorcet, de décembre 1773, eu fit une critique amère,... | |
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