| Paris (France) - 1852 - 812 pages
...etc., elle ne s'inquiète pas de ce que lïnimorfel vagabond de Genève avait écrit sur le droit « du premier qui, ayant enclos un terrain s'avisa de dire...moi, et trouva des gens assez simples pour le croire VOLTAIRE FIT OUBLIER ROUSSEAU! ( .... En soumettant à la discussion la légitimité des biens ecclésiastique,... | |
| Blaise Pascal, Ernest Havet - Apologetics - 1852 - 680 pages
...l'a pas égalée : a Le premier » qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : Ceci ni à moi, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, quo de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant lee pieux... | |
| Blaise Pascal, Ernest Havet - Apologetics - 1852 - 690 pages
...liv. II, chapitre 6). Il a raison de dire que Rousseau , en s'en inspirant, ne l'a pas égalée : « Le premier » qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : Ceci est à moi, fut le vrai fondateur » do la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères... | |
| Blaise Pascal - 1852 - 684 pages
...liv. II, chapitre 6). Il a raison de dira que Rousseau, en s'en inspirant, ne l'a pas égalée : « Le premier » qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire : Ceci est à moi, fut le vrai fondateur » de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères... | |
| Jean Jacques Auguste Nicolas, Auguste Nicolas - Poor - 1852 - 636 pages
...ceux « qui n'auraient de quoi vivre ni par leur bien ni par « leur travail. » (Emile, liv. II.) « Le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa « de dire, CECI EST A MOI , et trouva des gens assez sim« pies pour le croire, fut le vrai fondateur de la société «... | |
| Auguste Nicolas - Poor - 1852 - 628 pages
...ceux « qui n'auraient de quoi vivre ni par leur bien ni par « leur travail. » (Émile, liv. II.) « Le premier qui , ayant enclos un terrain, s'avisa « de dire, CECI EST A MOI , et trouva des gens assez sim« pies pour le croire, fut le vrai fondateur de la société «... | |
| Charles François Chevé - 1853 - 732 pages
...livres à paradoxes n'esl-il pas de supposer toujours la nature autrement qu'elle n'est? « Le môme auteur, ennemi de la société , semblable au renard...assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de k société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, de misères et d'horreurs n'eût point... | |
| Franck Tinland - Technology - 1994 - 262 pages
...sociable, en entrant dans l'histoire (le moment instaurateur étant l'invention de la propriété — « le premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire, ceci est à moi... »*) se coupe d'une nature si irrémédiablement perdue que l'état de nature est un état « qui n'existe... | |
| John Brewer, Susan Staves - Business & Economics - 1996 - 646 pages
...appear in the text. The French original reads: "Le premier qui ayant enclos un terrain, s'avisa de dice, ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le crolee, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de... | |
| Tsimaratos, P. Leuprecht, J. Schwietzke - Political Science - 1996 - 1278 pages
...connaît la formule du Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité entre les hommes: 'Le premier qui ayant enclos un terrain, s'avisa de dire: ceci est à moi, et trouva des gens assés simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres,... | |
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