| 1917 - 744 pages
...politique- « C'est pourquoi, écrivaitil, je ne saurais approuver les humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant appelées ni par leur naissance, ni...quelque nouvelle réformation ; et si je pensais qu'il y eut la moindre chose en cet écrit par laquelle on me pût soupçonner de cette folie, je serais très... | |
| Jules Delvaille - Civilization - 1910 - 794 pages
...Méthode, 2e partie) : « Je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant appelées ni par leur naissance ni par...affaires publiques, ne laissent pas d'y faire toujours m idée, quelque réformation. » Que l'on compare à la timidité de Deçcartes, l'attitude de Rousseau... | |
| J. B. Sabrié - Humanism - 1913 - 608 pages
...très rudes... C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui, n'étant appelées ni par leur naissance ni par...laissent pas d'y faire toujours en idée quelque nouvelle réformation1. » Descaries ne fera donc pas de révolution en politique, mais il apportera un changement... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1914 - 360 pages
...né saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes qui, n'étant appelées nipar leur naissance ni par leur fortune au maniement des...faire toujours en idée quelque nouvelle réformation, t — Descartes, homme du xvu° siècle, n'appliquait pas les règles de sa méthode à l'étude des... | |
| Albert Schinz, Helen Maxwell King - French language - 1915 - 400 pages
...la Première Partie: «mon dessein n'est pas d'enseigner ici la méthode que chacun doit suivre ... et si je pensais qu'il y eût la moindre chose en...laquelle on me pût soupçonner de cette folie, je serais très marri de souffrir qu'il fût publié. Jamais mon dessein ne s'est étendu plus avant que de tâcher... | |
| P. Gonneau, Christian Sénéchal - France - 1920 - 488 pages
...brouillonnes et inquiètes, qui n'étant appelées, ni par Ifur naissance, ni par leur f 01- tune, au maniement des affaires publiques, ne laissent pas d'y faire toujours en ld,ée quelque nouvelle réfo.rmation. Et si je pensais qu'il y eût la moindre chose en cet écrit... | |
| Henri Gouhier - Faith and reason - 1924 - 352 pages
...saurais aucunement approuver ces humeurs brouillones et inquiètes, qui, n'étant appelées ni par leurs naissance ni par leur fortune au maniement des affaires...quelque nouvelle réformation. Et si je pensais qu'il y eut la moindre chose en cet écrit, par laquelle on me put soupçonner de cette folie, je serais très... | |
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