| Prosper Poitevin - French language - 1887 - 454 pages
...toute frète : (Racine. ; . 3° Quand on veut particulièrement fixer l'attention sur le dernier : J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avait fait perdre en un instant /'ATTENTION et /'ESTIME PUBLIQUE. ( Montesquieu. ) § 75. Lorsqu'un adjectif est précédé de deux... | |
| George Eugène Fasnacht - 1888 - 272 pages
...point coni.a. Cela me fit résoudre à quitter l'habit 25 persan et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie...Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprérié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon 30 tailleur, qui m'avait fait perdre en... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1849 - 396 pages
...point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan, e*. à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie...réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je rne vis apprécié au plus juste l'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avait foii perdre,... | |
| Ludwig Herrig - French literature - 1891 - 716 pages
...point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan, et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie...connaître ce que je valais réellement. Libre de tous les ornemente étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur,... | |
| Amédé Rougemont - French literature - 1893 - 436 pages
...point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan, et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie...quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connaître ee que je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus... | |
| Alphonse Naus Van Daell - Franch language - 1893 - 344 pages
...fit connaitre ce que je valais reellement. Libre de tous les ornements etrangers, je me vis apprecie au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur qui me fit perdre, en un instant, 1'attention et 1'estime publiques. J'entrai tout a coup dans un neant... | |
| Lucien Leclair, Clodomir Joseph Rouzé - French language - 1900 - 388 pages
...connu. Ex. 177. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan, cl à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie...Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécier au plus juste. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé,... | |
| Eugène F. Bauer - French literature - 1902 - 556 pages
...point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie...connaître ce que je valais réellement : libre de tous ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur,... | |
| Othon Goepp Guerlac - French language - 1905 - 234 pages
...point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan et à en endosser un à l'européenne, 1 pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie...Libre de tous les ornements étrangers, je me vis S apprécié au plus juste. 2 J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avait fait perdre en... | |
| Émile Paul Toutey - 1907 - 424 pages
...point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie...fait perdre en un instant l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout à coup dans un néant * affreux. Je demeurais quelquefois une heure... | |
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