...ces résultats de nos recherches. Montesquieu , définissant les lois positives, pensait « qu'elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un très-grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre. » Comment oser contester...

...serait essentiellement nuisible àun autre, etc. » Page 149. Montesquieu dit, en parlant des lois : « Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un très-grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre.... Elles doivent être relatives...

...deux ou trois formes différentes. Les lois, au contraire , comme le professe Montesquieu (2) , « doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un très grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre. » N° 3. Aussi, les sociétés...

...celte raison humaine.t Il ajoute immédiatement, comme une conséquence de ce qu il vient de dire : « Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un très-grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre. t Admirable réponse , par...

...cette raison humaine.» Il ajoute immédialement, comme une conséquence de ce qu'il vient de dire : « Elles doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un très-grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre. » Admirable réponse , par...

...peut-être une meilleure raison ou une meilleure excuse dans ce passage de son livre : « Les lois doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites, que c'est un très grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre» (liv. 1, ch. 3). 8. L'école...

...leges habeant, ita, ut ex legibus populus cognoscatur. Montesquievius diserte monet: »elles (les lois) doivent être tellement propres au peuple, pour lequel elles sont faites, que c'est un très grand hasard, si celles d'une nation peuvent convenir à une autre. Il faut qu'elles se rapportent...

...de son immortel ouvrage *, dit, en parlant en général du caractère des lois : « Elles doi« vent être tellement propres au peuple pour lequel elles « sont faites , que c'est un très-grand hasard si celles « d'une nation peuvent convenir à une autre. » Le mot est vrai de toutes...

...fait rarement, et que rarement on^laisse faire à la prudence. » Il disait encore : « Les lois (1) doivent être tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites , que c'est un très-grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre. » Vraiment, cela est d'une...

...ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine. « Elles doiventêtre tellement propres au peuple pour lequel elles sont faites , que c'est un très-grand hasard si celles d'une nation peuvent convenir à une autre. » Ces étranges faiseurs...